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Dalacine 900 mg, solution injectable, boîte de 1 ampoule de 6 ml

Dalacine 900 mg est un médicament mis à disposition dans le milieu hospitalier sous forme de solution injectable à base de Clindamycine (900 mg/6 mL).
Mis en vente le 02/11/1982 par PFIZER PFE FRANCE. Médicament pris en charge par les collectivités et rétrocédable par les pharmacies hospitalières par prolongation des conditions d'inscription.

 

À propos

    Principes actifs

  • Clindamycine

    Excipients

  • Benzylique alcool
  • Edétate disodique (E385)
  • Eau pour préparations injectables
  • Présence de :
  • Sodium

    Classification ATC

    • anti-infectieux generaux à usage systémique

      • antibactériens à usage systémique

        • macrolides et lincosamides

          • lincosamides

            • clindamycine

    Statut

    Ce médicament est autorisé sur le marché depuis le 02/11/1982.

 

Indications : pourquoi le prendre?

Indications d’utilisation
  • Infection ORL
  • Infection bronchopulmonaire
  • Infection stomatologique
  • Infection cutanée
  • Infection génitale
  • Infection ostéo-articulaire
  • Infection abdominale post-chirurgicale
  • Infection septicémique
  • Prophylaxie d'infection post-opératoire en neurochirurgie
  • Prophylaxie d'infection post-opératoire en chirurgie digestive sous-mésocolique
  • Prophylaxie d'infection post-opératoire en chirurgie carcinologique ORL
  • Prophylaxie d'infection post-opératoire en chirurgie gynécologique
  • Prophylaxie d'infection post-opératoire au cours de l'amputation de membre

Indications thérapeutiques

Elles procèdent de l'activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de la clindamycine. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu le médicament et de sa place dans l'éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.

En curatif

Elles sont limitées aux infections sévères, dues à des germes définis comme sensibles dans leurs manifestations:

· ORL,

· bronchopulmonaires,

· stomatologiques,

· cutanées,

· génitales,

· ostéoarticulaires,

· abdominales post-chirurgicales,

· septicémiques,
à l'exception des infections méningées, même à germes sensibles, en raison d'une diffusion insuffisante de cet antibiotique dans le LCR.

En prophylaxie

Pour les patients allergiques aux bêta-lactamines, prophylaxie des infections post-opératoires en:

· neurochirurgie;

· chirurgie digestive sous mésocolique en association avec un aminoside;

· chirurgie carcinologique ORL avec ouverture du tractus oropharyngé en association avec un aminoside;

· chirurgie gynécologique en association avec un aminoside;

· amputation de membre en association avec un aminoside.

Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.

 

Contre indications : pourquoi ne pas le prendre ?

Ce médicament ne doit jamais être utilisé :

·         en cas d'hypersensibilité à la substance active, clindamycine, ainsi qu'à la lyncomycine ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique Composition

·         chez les enfants de moins de 3 ans, en raison de la présence d'alcool benzylique

·         en cas d'allaitement (voir rubrique Grossesse et allaitement).

 

Posologie et mode d'administration

Posologie

Traitement curatif

·         adultes : 600 à 2400 mg/24 heures, en 2, 3 ou 4 administrations ;

·         enfants : 15 à 40 mg/kg/24 heures, en 3 ou 4 administrations.

 

Traitement prophylactique

L'antibioprophylaxie doit être de courte durée, le plus souvent limitée à la période per-opératoire, 24 heures parfois, mais jamais plus de 48 heures.

·         pour l'ensemble des chirurgies sauf la chirurgie ORL et l'appendicectomie: injection de 600 mg IV à l'induction anesthésique, suivie d'une réinjection de la même dose toutes les 4 heures, jusqu'à la fin de l'intervention.

·         pour l'appendicectomie, une dose unique suffit.

·         pour la chirurgie carcinologique ORL, une injection de 600 mg toutes les 6 heures pendant 24 heures, sans excéder 48 heures.

Mode d'administration

·         Voie intraveineuse

 

Ne jamais administrer par voie IV directe et toujours diluer préalablement dans une solution injectable isotonique de chlorure de sodium ou de glucose.

Le volume de dilution et la durée minimale de la perfusion seront déterminés en fonction de la dose administrée selon le schéma suivant:

dose

volume de dilution

durée minimale de perfusion

300 mg

50 ml

10 minutes

600 mg

50 ml

20 minutes

900 mg

50 - 100 ml

30 minutes

1200 mg

100 ml

40 minutes

 

La concentration de clindamycine ne doit pas être supérieure à 18 mg/ml et la vitesse d'injection ne doit pas excéder 30 mg/min (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).

·         Voie intramusculaire

 

L'administration intramusculaire de plus de 600 mg en une fois est déconseillée.

Si la dilution est indispensable pour la voie IV, ceci n'est pas le cas pour la voie IM. Par ailleurs la dilution ne serait pas adaptée pour cette voie d'administration.

 

Mises en garde et précautions d'emploi

Colites associées aux antibiotiques

Des colites pseudo-membraneuses et des colites associées aux antibiotiques ont été observées avec pratiquement tous les agents antibactériens dont la clindamycine (voir rubrique Effets indésirables) ; leur sévérité est variable, de légère à menaçant le pronostic vital. Par conséquent, il est important d'envisager ce diagnostic en cas de survenue de diarrhée pendant ou après l'administration de tout antibiotique. En cas de survenue de colite associée aux antibiotiques, la clindamycine doit immédiatement être arrêtée; un médecin devra être consulté et un traitement approprié notamment un traitement spécifique contre Clostridium difficile devra être instauré. Les médicaments inhibant le péristaltisme sont contre-indiqués dans cette situation.

Hypersensibilité

Des réactions d'hypersensibilité et d'allergie, y compris des réactions anaphylactiques, peuvent survenir (voir rubrique Effets indésirables) et mettre en jeu le pronostic vital. Dans ces cas, la clindamycine doit être interrompue et un traitement médical adapté doit être mis en place.

La clindamycine est à utiliser avec prudence chez les malades ayant des antécédents d'asthme ou d'autres allergies.

La survenue, en début de traitement, d'un érythème généralisé fébrile associé à des pustules doit faire suspecter une pustulose exanthématique aiguë généralisée (voir rubrique Effets indésirables) ; elle impose l'arrêt du traitement et contre-indique toute nouvelle administration de clindamycine.

Insuffisance hépatique

Une augmentation des taux sériques et un allongement de la demi-vie d'élimination de la clindamycine ont été documentés chez l'insuffisant hépatique.

Traitement à long terme

Les traitements de longue durée ne devront être effectués que sous surveillance de la formule sanguine, des enzymes hépatiques et de la fonction rénale.

L'administration d'antibiotiques notamment en cas d'utilisation prolongée, est associée à l'émergence et à la sélection de bactéries de sensibilité diminuée ou au développement de champignons. En cas de surinfection, un traitement approprié doit être initié.

Ce médicament ne doit pas être utilisé dans le traitement de la méningite car la clindamycine ne diffuse pas de manière suffisante dans le liquide céphalo-rachidien (voir rubrique Indications thérapeutiques).

Effets indésirables liés à l'administration intraveineuse/intramusculaire 

·         des cas d'hypotensions voire d'arrêt cardiaque ont été rapportés après administration intraveineuse trop rapide (voir rubrique Posologie et mode d'administration)

·         des cas de thrombophlébites ont été aussi observés

·         après administration intramusculaire, la clindamycine est en règle générale bien tolérée

 

Ces réactions peuvent être réduites en pratiquant des injections intramusculaires profondes et en évitant l'utilisation permanente de cathéter.

Sodium

Ce médicament contient du sodium. Ce médicament contient 3 mg de sodium par ampoule. A prendre en compte chez les patients suivant un régime hyposodé strict.

 

Grossesse et allaitement

Grossesse

Dans les études de développement embryo-foetal réalisées (voir rubrique Données de sécurité précliniques), aucune toxicité n'a été observée sur le développement à l'exception des doses produisant une toxicité chez la mère.

La clindamycine traverse la barrière placentaire.

Les données d'exposition de la clindamycine par voie systémique ou topique chez la femme enceinte au premier trimestre de grossesse sont limitées.

Les données disponibles lors d'une exposition lors des seconds et troisièmes trimestres sont nombreuses et il n'a pas été signalé d'augmentation du risque foetal.

Ainsi, compte tenu des données disponibles, il est préférable par mesure de prudence d'éviter d'utiliser la clindamycine au cours du premier trimestre de grossesse.

Lors du deuxième et troisième trimestre de grossesse, la clindamycine peut être utilisée si nécessaire.

Allaitement

La clindamycine passe en faible quantité dans le lait maternel. Il existe un risque de troubles digestifs chez l'enfant allaité. En conséquence, par mesure de précaution, il convient d'éviter d'allaiter pendant la durée du traitement.

Fertilité

Les études de fertilité menées chez le rat recevant de la clindamycine n'ont mis en évidence aucun effet sur la fertilité ou la capacité de reproduction.

 

Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions

Associations faisant l'objet de précautions d'emploi

+        Antagonistes de la vitamine K

Augmentation de l'effet de l'antivitamine K et du risque hémorragique.

Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'antivitamine K pendant le traitement par clindamycine et après son arrêt.

+        Curares

Potentialisation des curares lorsque l'antibiotique est administré par voie parentérale avant, pendant ou après l'agent curarisant. Surveiller le degré de curarisation en fin d'anesthésie.

+        Ciclosporine

Diminution des concentrations sanguines de l'immunosuppresseur avec risque de perte de l'activité immunosuppressive. Contrôle renforcé des dosages sanguins de ciclosporine et augmentation éventuelle de sa posologie.

+        Tacrolimus

Diminution des concentrations sanguines de l'immunosuppresseur avec risque de perte de l'activité immunosuppressive. Contrôle renforcé des dosages sanguins de tacrolimus et augmentation éventuelle de sa posologie.

Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR

De nombreux cas d'augmentation de l'activité des antivitamines K ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées: il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.

 

Effets indésirables

Le tableau ci-dessous présente la liste des effets indésirables issus des essais cliniques et de la surveillance post-commercialisation par système organe-classe et fréquence.

Selon le système de classification par organe, les effets indésirables sont listés ci-dessous par ordre de fréquence puis par importance clinique en utilisant les catégories suivantes : très fréquent ((≥1/10) ; fréquent (≥1/100 à <1/10) ; peu fréquent (≥1/1000 à <1/100) ; rare (≥1/10000 à <1/1000) ; très rare (<1/10000) ; fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).

Tableau des effets indésirables

Système organe-classe

Fréquent ≥ 1/100 à < 1/10

Peu fréquent ≥ 1/1000 à < 1/100

Rare ≥ 1/10000 à < 1/1000

Très rare < 1/10000

Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles)

Infections et infestations

 

 

 

 

Infection vaginale

Affections hématologiques et du système lymphatique

 

 

 

 

Agranulocytose, Leucopénie,

Neutropénie, 

Thrombopénie

Eosinophilie

Purpura thrombopénique

Affections du système immunitaire

 

 

 

 

Réactions d'hypersensibilité telles qu'oedème de Quincke et anaphylaxie chez quelques sujets allergiques à la pénicilline* ;

Syndrome DRESS (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques)

Affections du système nerveux

 

Dysgueusie

 

 

 

Affections cardiaques

 

Arrêt cardiaque*, Hypotension*

 

 

 

Affections vasculaires

Thrombophlébite*

 

 

 

 

Affections gastro-intestinales

Colite pseudo-membraneuse*

Diarrhées, Nausées

 

 

Douleurs abdominales

Vomissements 

Affections hépatobiliaires

Anomalies des tests de la fonction hépatique

 

 

 

Ictère

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Eruptions maculopapuleuses

Erythème polymorphe

Prurit

Urticaire

 

 

Nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell),

Syndrome de Steven Johnson,

Dermatite exfoliative, Dermatose bulleuse, Eruptions morbilliformes,

Pustulose exanthématique aigüe généralisée (PEAG)

Troubles généraux et anomalies au site d'administration

 

Douleurs,

Abcès

 

 

Irritations au site d'injection*

*voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr.

 

Surdosage

L'hémodialyse et la dialyse péritonéale ne permettent pas d'éliminer efficacement la clindamycine du plasma.

 

Effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines

DALACINE n'a aucun effet ou qu'un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.

 

Propriétés pharmacologiques

ANTIBIOTIQUES ANTIBACTERIENS de la famille des lincosamides.

(J: Anti-infectieux)

SPECTRE D'ACTIVITE ANTIBACTERIENNE

Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :

S £ 2 mg/l et R > 2 mg/l

La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.

Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en france est connue pour une espèce bactérienne, elle est indiquée dans le tableau ci-dessous :

Catégories

Fréquence de résistance acquise en France (> 10%) (valeurs extrêmes)

ESPÈCES SENSIBLES

 

Aérobies à Gram positif

Bacillus cereus

?

Corynebacterium diphtheriae

 

Enterococcus faecium

50 - 70 %

Erysipelothrix

 

Staphylococcus méti-S

 

Staphylococcus méti-R *

70 - 80 %

Streptococcus B

 

Streptococcus non groupable

30 - 40 %

Streptococcus pneumoniae

35 - 70 %

Streptococcus pyogenes

16 - 31 %

Aérobies à Gram négatif

Campylobacter

 

Anaérobies

Actinomyces

 

Bacteroides

5 - 30 %

Capnocytophaga

 

Clostridium (autres que perfringens et difficile)

25 - 35 %

Clostridium perfringens

 

Eubacterium

 

Fusobacterium

 

Gardnerella vaginalis

 

Mobiluncus

 

Peptostreptococcus

20 - 30 %

Porphyromonas

 

Prevotella

 

Propionibacterium acnes

5 - 15 %

Veillonella

 

Autres

Chlamydia trachomatis

 

Leptospires

 

Mycoplasma hominis

 

Mycoplasma pneumoniae

 

Catégories

ESPÈCES RÉSISTANTES

 

Aérobies à Gram positif

 

Corynebacterium jeikeium

 

Entérocoques (autres que Enterococcus faecium)

 

Listeria

 

Nocardia asteroïdes

 

Rhodococcus equi

 

Aérobies à Gram négatif

 

Bacilles à Gram négatif non fermentaires

 

(Acinetobacter, Pseudomonas, ... )

 

Branhamella catarrhalis

 

Entérobactéries

 

Haemophilus

 

Legionella

 

Neisseria

 

Pasteurella

 

Anaérobies

 

Clostridium difficile

 

Autres

 

Mycobactéries

 

Ureaplasma urealyticum

 

La clindamycine possède une activité in vitro et in vivo sur Toxoplasma gondii.

* La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50 % de l'ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.

Distribution

Le phosphate de clindamycine, inactif in vitro, est rapidement hydrolysé in vivo en clindamycine active.

· Concentration sérique: différents facteurs influencent les concentrations sériques, notamment la voie d'administration, la dose et un éventuel état pathologique.

Le tableau suivant illustre les pics de concentration atteints chez le sujet sain, après administration parentérale.

Voie

Dose (mg)

Tmax (heures)

Cmax (mcg/ml)

intramusculaire

600

2

6.3 - 6.7

intraveineuse

600

½

17

Chez les diabétiques, il a été signalé des concentrations sériques légèrement plus basses que chez le sujet sain.

La demi-vie biologique moyenne est de 2.5 heures.

· Liaison aux protéines plasmatiques
Elle est importante: de l'ordre de 80 à 94 %.

· Diffusion humorale et tissulaire
La clindamycine est distribuée dans les liquides extra et intra-cellulaires et à une très forte concentration tissulaire.
La diffusion dans le liquide céphalorachidien est très faible.

· Biotransformation
Le métabolisme de la clindamycine est hépatique.

· Excrétion
La clindamycine est principalement éliminée par la bile: les concentrations obtenues sont 2 à 6 fois plus importantes que les concentrations sanguines.
L'excrétion urinaire de la clindamycine correspond à environ 6.4 % de la dose administrée. Les concentrations sériques de la clindamycine ne sont pas modifiées par l'hémodialyse ou la dialyse péritonéale.

 

Durée et précautions particulières de conservation

Durée de conservation:

2 ans.

Après ouverture, reconstitution et/ou dilution : le produit doit être utilisé immédiatement.

Précautions particulières de conservation :

Ne pas congeler.

A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.

Il existe une incompatibilité physicochimique avec les médicaments suivants : ampicilline, phénytoïne, barbituriques, aminophylline, gluconate de calcium, sulfate de magnésium.
Voie intraveineuse :
Ne jamais administrer par voie IV directe et toujours diluer préalablement dans une solution injectable isotonique de chlorure de sodium ou de glucose.

6 ml en ampoule (verre), boîte de 1.