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Caverject 10 microgrammes/1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral, boîte de 1 flacon de lyophilisat + seringue préremplie de 1 ml

Caverject est un médicament sous forme de lyophilisat et solution pour usage parentéral à base de Alprostadil (10 µg/1 mL).
Autorisation de mise sur le marché le 30/09/1994 par PFIZER PFE FRANCE au prix de 10,50€.

 

À propos

    Principes actifs

  • Alprostadil

    Excipients

  • Lyophilisat :
  • Lactose
  • Sodium citrate (E331)
  • Alpha-cyclodextrine
  • Solution :
  • Benzylique alcool
  • Eau pour préparations injectables

    Classification ATC

    • système génito-urinaire et hormones sexuelles

      • médicaments urologiques

        • autres médicaments urologiques, antispasmodiques inclus

          • médicaments utilisés dans les troubles de l'érection

            • alprostadil

    Statut

    Ce médicament est autorisé sur le marché depuis le 30/09/1994.

 

Indications : pourquoi le prendre?

Indications d’utilisation
  • Induction pharmacologique de l'érection

Indications thérapeutiques

Induction pharmacologique de l'érection.

 

Contre indications : pourquoi ne pas le prendre ?

L'administration de cette forme d'alprostadil est contre-indiquée par la voie veineuse.

L'alprostadil par voie intra-caverneuse ne doit pas être administré:

·         Chez les sujets ayant une hypersensibilité connue aux prostaglandines, à l'alprostadil ou à l'un des excipients;

·         Chez les sujets prédisposés au priaprisme du fait de certaines affections comme une drépanocytose, ou un trait drépanocytaire, un myélome multiple ou une leucémie;

·         Chez les sujets présentant une déformation anatomique du pénis, telle qu'une incurvation pénienne, une fibrose des corps caverneux ou la maladie de La Peyronie;

·         Chez les sujets ayant un implant pénien;

·         Chez les sujets chez qui une activité sexuelle est déconseillée ou contre-indiquée;

·         Chez la femme et l'enfant en raison de l'indication thérapeutique.

En raison du passage de l'alprostadil dans le sperme et le liquide séminal, le traitement devra être évité chez un patient dont la partenaire est enceinte ou susceptible de l'être.

 

Posologie et mode d'administration

Voie intra-caverneuse stricte, chez l'homme adulte.

La posologie est strictement individuelle et doit être déterminée au préalable par un test.

La dose d'essai initiale est comprise entre 5 microgrammes et 20 microgrammes; la dose doit être ajustée pour permettre au patient d'être en érection complète 5 à 10 minutes après l'injection.

L'érection ne doit pas durer plus d'une heure.

Si le malade ne présente pas d'érection suffisante à la dose initiale, celle-ci peut être majorée par paliers de 5 microgrammes jusqu'à 20 microgrammes d'alprostadil.

Ne pas administrer plus d'une injection par jour, le rythme maximal des injections étant de deux par semaine avec un intervalle d'au moins 24 heures entre les injections.

La dose maximale individuelle par injection est de 20 microgrammes.

La première injection doit obligatoirement être effectuée en milieu médical, les auto-injections dans le corps caverneux ne seront effectuées par le patient qu'au terme d'un apprentissage de la technique d'injection.

Une fois que le médecin aura expliqué le mode d'injection à son patient et aura déterminé la dose efficace, des auto-administrations pourront être faites par le patient à son domicile.

Le malade ne doit injecter que la dose optimale individuelle déterminée pour lui.

Il convient d'interdire au patient d'augmenter sa dose individuelle de son propre chef.

Après mélange, la solution est administrée par voie intra-caverneuse stricte.

Utiliser une seringue et une aiguille stérile pour toute nouvelle injection.

La solution reconstituée est destinée à un usage unique, et ne doit pas être réutilisée pour une nouvelle injection.

 

Mises en garde et précautions d'emploi

Les raisons médicales sous-jacentes de la dysfonction érectile doivent être diagnostiquées et traitées avant de débuter un traitement avec l'alprostadil.

Mises en garde spéciales

L'alprostadil peut provoquer une érection prolongée voire un priapisme, une fibrose des corps caverneux, des douleurs.

Afin de minimiser le risque, la dose efficace la plus faible devra être déterminée.

Un priapisme (érection de plus de six heures) peut survenir à la suite de l'administration intra-caverneuse d'alprostadil. Le traitement d'un priapisme devra être initié dans les 6 heures au plus tard (voir rubrique Surdosage).

Le patient sera prévenu qu'en cas d'érection rigide prolongée de plus de 4 heures, il est indispensable de contacter immédiatement un médecin traitant, ou avoir recours à une assistance médicale afin qu'un traitement adapté puisse être mis en place. La prise en charge du priapisme devra se faire en accord avec les pratiques médicales établies.

 

Il sera vivement recommandé au patient:

·         de conserver sur lui le numéro de téléphone du praticien en charge de ce traitement;

·         de faire un apprentissage dans un centre spécialisé en cas d'utilisation en auto-injection.

Une érection douloureuse est d'avantage susceptible de se produire chez les patients présentant des déformations anatomiques du pénis, telles qu'une angulation pénienne, un phimosis, une fibrose des corps caverneux, une maladie de La Peyronie ou des plaques.

Une fibrose pénienne, y compris une angulation, une fibrose des corps caverneux, des nodules fibreux et une maladie de La Peyronie, peuvent survenir à la suite de l'administration intra-caverneuse d'alprostadil. L'incidence de la fibrose peut augmenter avec la durée d'utilisation.

Un suivi régulier des patients, comprenant un examen minutieux du pénis, à la recherche de signes de fibrose pénienne ou de maladie de La Peyronie est fortement recommandé.

L'alprostadil n'est pas destiné à être associé à un autre traitement de l'insuffisance érectile (voir également rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).

Le traitement par alprostadil devra être interrompu en cas d'apparition chez les patients d'angulation pénienne, d'une fibrose des corps caverneux ou de maladie de La Peyronie.

Chez certains patients, l'injection d'alprostadil peut provoquer un léger saignement au site d'injection. Celui-ci pourrait favoriser la transmission à leur partenaire d'une maladie à diffusion hématogène,

Il est conseillé d'éviter l'utilisation de l'alprostadil chez les patients ayant présenté un accident cardiovasculaire dans les trois mois précédents et dont l'état cardiovasculaire n'est pas stabilisé.

Précautions d'emploi

Une attention particulière sera apportée au traitement des patients présentant avant le traitement: des lésions cicatricielles du corps caverneux (fibrose/nodule), une angulation pénienne ou une maladie de La Peyronie, une douleur pouvant être ressentie au moment de l'érection.

Les patients ayant des troubles de la coagulation sont à surveiller plus particulièrement sur le plan biologique et au niveau local. On conseillera au patient d'exercer une pression suffisante sur le point d'injection.

L'alprostadil devra être utilisé avec prudence en cas d'antécédents d'accidents ischémiques transitoires ou en cas de troubles cardio-vasculaires instables.

Le risque d'un usage abusif d'alprostadil devra être pris en considération en cas d'antécédents de troubles psychiatriques ou de toxicomanie.

Chez les patients souffrant de coronaropathie, d'insuffisance cardiaque congestive ou de maladie pulmonaire, la stimulation et les relations sexuelles peuvent conduire à des accidents cardiaques ou pulmonaires. L'alprostadil devra être utilisé avec précaution chez ces patients, qui devront envisager une activité sexuelle avec prudence.

Après les dix premières injections et par la suite à intervalles réguliers, le médecin évaluera à nouveau le traitement pour rechercher en particulier des effets indésirables locaux et procéder à un éventuel ajustement de la posologie.

Le malade ne doit injecter que la dose optimale individuelle déterminée pour lui.

Il convient d'interdire au patient d'augmenter sa dose individuelle de son propre chef.

Les solutions reconstituées d'alprostadil sont à usage unique. Le système d'injection/la seringue et la solution restante éventuelle doivent être éliminés correctement.

CAVERJECT contient de l'alcool benzylique pouvant entraîner des réactions d'hypersensibilité.

Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares).

Ce médicament contient du sodium. Le taux de sodium est inférieur à 1 mmol par ml de dose administrée, c'est-à-dire « sans sodium ».

 

Grossesse et allaitement

En raison du passage de l'alprostadil dans le sperme et le liquide séminal, le traitement devra être évité chez un patient dont la partenaire est enceinte ou susceptible de l'être.

 

Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions

Les patients traités par un anticoagulant de type warfarine ou héparine peuvent présenter une tendance accrue au saignement après l'injection intra-caverneuse en raison de l'activité anti agrégante plaquettaire de l'alprostadil.

Les effets de l'association de l'alprostadil à d'autres traitements de l'insuffisance érectile (par exemple : sildénafil) ou à d'autres médicaments inducteurs de l'érection (par exemple : papavérine) n'ont pas fait l'objet d'études formelles. De telles substances ne devront pas être utilisées en association avec l'alprostadil en raison du risque d'induction d'érections prolongées.

Les produits sympathomimétiques peuvent diminuer l'effet de l'aprostadil.

L'alprostadil peut augmenter les effets des agents anti-hypertenseurs, des vasodilatateurs, des anticoagulants et des antiagrégants plaquettaires.

 

Effets indésirables

L'effet indésirable le plus fréquemment rapporté après injection intracaverneuse a été une douleur pénienne. 30% des patients ont signalé une douleur au moins une fois. Une douleur a été associée à 11 % des injections. Dans la plupart des cas, la douleur était d'intensité légère à modérée. Chez 3 % des patients, la douleur a entraîné l'arrêt du traitement.

Une fibrose pénienne, dont une angulation, des nodules fibreux et une maladie de La Peyronie, a été rapportée chez 3 % des patients ayant participé aux essais cliniques. Dans une étude au cours de laquelle la période des auto-injections allait jusqu'à 18 mois, l'incidence de la fibrose pénienne a été plus élevée, de l'ordre de 8 %.

Des hématomes et des ecchymoses au point d'injection, d'avantages liés à la technique d'injection qu'aux effets de l'alprostadil, sont respectivement survenus chez 3 % et 2 % des patients.

Une érection prolongée (définie comme durant de 4 à 6 heures) a été signalée chez 4 % des patients. La fréquence du priapisme (défini comme une érection douloureuse durant plus de 6 heures) a été de 0,4 %. Dans la plupart des cas, la détumescence est survenue spontanément.

Les réactions indésirables rapportées pendant les essais cliniques et après la commercialisation sont présentées dans le tableau ci-dessous, selon les fréquences : très fréquent (≥1/10) ; fréquent (≥1/100 à <1/10) ; peu fréquent (≥1/1 000 à <1/100).

Classe de système d'organe

Fréquence

Effets indésirables

Infections et infestations

 

Peu fréquents

Infection fongique, Rhume banal

Affections du système nerveux

 

Peu fréquents

Hypoesthésie, hyperesthésie, Pré syncope

Affections oculaires

 

Peu fréquents

Mydriase

Affections cardiaques

 

Peu fréquents

Extrasystoles supra ventriculaires

Affections vasculaires

 

Fréquents

Hématome

Peu fréquents

Troubles veineux, hypotension, troubles vasculaires périphériques, vasodilatation

Affections gastro-intestinales

 

Peu fréquents

Nausées, Bouche sèche

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

 

Peu fréquents

Erythème, hyperhidrose, rash, prurit, érythème scrotal

Affections musculo-squelettiques et systémiques

Fréquents

Spasmes musculaires

Affections du rein et des voies urinaires

 

Peu fréquents

Dysurie, hématurie, pollakiurie, miction impérieuse, hémorragie urétrale

Affections des organes de reproduction et du sein

 

Très fréquents

Douleur pénienne (sensation de brûlure ou de tension du pénis)

 

Fréquents

Erection prolongée, maladie de La Peyronie ; trouble pénien

Peu fréquents

Dysfonctionnement érectile, anomalie de l'éjaculation, balanite, érection douloureuse, phimosis, priapisme, douleur testiculaire, trouble scrotal, érythème scrotal, douleur du scrotum, spermatocèle, oedème scrotal, trouble testiculaire, tuméfaction du testicule, oedème testiculaire, masse testiculaire, douleur de la région pelvienne

Troubles généraux et anomalies au site d'administration

 

Fréquents

Hématome au site d'injection, hématome, ecchymose

Peu fréquents

Asthénie, hémorragie au site d'injection, inflammation au site d'injection, prurit au site d'injection, tuméfaction au site d'injection, oedème au site d'injection, chaleur au site d'injection, irritation au site d'injection, hémorragie, inflammation, irritation, oedèmes périphériques, oedème, anesthésie au site d'injection, douleur au site d'injection

Investigations

 

Peu fréquents

Diminution de la pression artérielle, Augmentation de la fréquence cardiaque, Augmentation de la créatininémie.

D'autres effets indésirables ont été signalés :

·         fibrose, érythème, déviation pénienne, dépôts d'hémosidérine dans le pénis;

·         injection dans l'urètre résultant d'une mauvaise technique d'injection;

·         hypotension orthostatique, arythmies cardiaques, étourdissements, céphalées;

·         choc vagal, et collapsus pouvant être plus en rapport avec l'injection qu'avec les effets pharmacologiques de l'alprostadil.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr

 

Surdosage

Aucun cas de surdosage n'a été observé au cours des essais cliniques avec l'alprostadil. En cas de surdosage intracaverneux, le patient devra être placé sous contrôle médical jusqu'à disparition de tout effet systémique et/ou l'obtention d'une détumescence. Toute manifestation systémique fera l'objet d'un traitement symptomatique, si nécessaire.

Les signes de toxicité sont un état dépressif, des selles molles ou une diarrhée et une respiration rapide.

Le traitement d'un priapisme (érection prolongée) devra avoir débuté au plus tard dans les 6 heures. Le traitement initial devra faire appel à une aspiration pénienne. En respectant les conditions d'asepsie, insérer une aiguille à ailettes de calibre 19 à 21 G dans le corps caverneux et aspirer 20 à 50 ml de sang. Il peut en résulter une détumescence du pénis. Si nécessaire, la manoeuvre pourra être répétée de l'autre côté du pénis jusqu'à aspirer une quantité totale de 100 ml de sang. Si cette manoeuvre reste inefficace, il est recommandé de pratiquer une injection intra-caverneuse d'un médicament alpha-adrénergique. Bien que la contre-indication habituelle de l'administration intra-caverneuse d'un vasoconstricteur ne s'applique pas au traitement du  priapisme, la prudence est conseillée quand on opte pour cette solution. La pression artérielle et le pouls devront faire l'objet d'une surveillance continue tout au long de la procédure.

Une prudence extrême est nécessaire chez les patients atteints de coronaropathie, d'une hypertension non contrôlée, d'une ischémie cérébrale et chez les patients traités par inhibiteurs de la monoamine oxydase. Dans ce dernier cas, les moyens nécessaires à la prise en charge d'une poussée hypertensive devront être disponibles. Une solution de phényléphrine à 200 microgrammes/ml sera préparée; 0,5 à 1,0 ml de cette solution seront injectés toutes les 5 à 10 minutes. De façon alternative, il est possible d'utiliser une solution d'adrénaline à 20 microgrammes/ml, l'injection pourra être suivie d'une nouvelle aspiration de sang à l'aide de la même aiguille à ailettes. Les doses maximales sont de 1 mg pour la phényléphrine et de 100 microgrammes pour l'adrénaline (5 ml de la solution). Il est également possible d'administrer du métaraminol ; il convient cependant de noter que des poussées hypertensives mortelles ont été signalées.

Si le priapisme persiste, un acte chirurgical d'urgence, pouvant comprendre l'établissement d'une dérivation, doit être envisagé.

La possibilité de survenue de tels incidents impose au patient d'avoir toujours avec lui le numéro de téléphone de l'équipe médicale qui a en charge son traitement et qui doit pouvoir le traiter en urgence.

 

Effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines

L'alprostadil ne devrait avoir aucune influence sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.

 

Propriétés pharmacologiques

L'alprostadil (ou Prostaglandine E1) appartient à une famille d'acides gras naturels ayant des effets pharmacologiques variés. La vasodilatation, l'inhibition de l'agrégation plaquettaire et la stimulation des muscles lisses de l'intestin et de l'utérus sont parmi les effets les plus notables.

Des études in vitro et chez de nombreuses espèces animales ont permis de conclure aux propriétés relaxantes de l'alprostadil au niveau des corps caverneux.

Chez le singe, l'administration d'alprostadil augmente le flux de sang de l'artère caverneuse, le degré et la durée de relaxation du muscle lisse caverneux chez ce type d'animal étant dose-dépendant.

Chez l'homme, une injection intra-caverneuse d'alprostadil produit une érection.

Administré par voie intraveineuse, l'alprostadil disparaît rapidement de la circulation générale avec une demi-vie de l'ordre de 5 minutes.

L'alprostadil est fixé à plus de 95 % aux protéines plasmatiques mais cette fixation protéique à relativement faible affinité ne semble pas limiter le captage tissulaire puisqu'au premier passage les poumons captent 70 % de l'alprostadil.

L'alprostadil est éliminé en totalité par biotransformation au niveau de différents organes dont les poumons. Les métabolites sont pharmacologiquement inactifs et excrétés en majorité par voie rénale.

Après injection intra-caverneuse, les concentrations dans les sinus d'alprostadil et de son métabolite primaire ( 15-oxo-13,14,-dihydro-PGE1 ) sont élevées.

Le principe actif n'est pas retrouvé dans la circulation périphérique, et le taux de 15-oxo-13,14,-dihydro-PGE1 n'est pas significativement élevé après administration intra-caverneuse.

 

Durée et précautions particulières de conservation

Durée de conservation :

2 ans.

Précautions particulières de conservation :

Avant reconstitution: à conserver à une température inférieure à 25°C.

Après reconstitution : la solution doit être utilisée immédiatement.

En l'absence d'études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments.

Lyophilisat en flacon (verre) et 1 ml de solution en seringue pré-remplie (verre) avec 2 aiguilles ; (boîte de 1).