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Zophren 4 mg/2 ml, solution injectable en seringue pré-remplie, boîte de 5 seringues préremplies de 2 ml

Zophren est un médicament mis à disposition dans le milieu hospitalier sous forme de solution injectable (5) à base de Ondansétron (4 mg/2 mL).
Mis en vente le 16/01/2006 par GLAXOSMITHKLINE et retiré du marché le 02/04/2010. Médicament pris en charge par les collectivités et rétrocédable par les pharmacies hospitalières par prolongation des conditions d'inscription.

 

À propos

    Principes actifs

  • Ondansétron

    Excipients

  • Citrique acide (E330)
  • Sodium citrate (E331)
  • Sodium chlorure
  • Eau pour préparations injectables
  • Présence de :
  • Sodium
  • Protecteur de l'embout de la seringue :
  • Latex

    Classification ATC

    • voies digestives et métabolisme

      • anti-émétiques et antinauséeux

        • anti-émétiques et antinauséeux

          • antagonistes de la sérotonine (5ht3)

            • ondansétron

    Statut

    Ce médicament a été autorisé sur le marché entre le 16/01/2006 et le 02/04/2010.

 

Indications : pourquoi le prendre?

Indications d’utilisation
  • Nausées et vomissements post-opératoires

Indications thérapeutiques

- Prévention et traitement des nausées et vomissements aigus induits par la chimiothérapie cytotoxique moyennement à hautement émétisante et la radiothérapie hautement émétisante chez l'adulte.
- Traitement des nausées et vomissements post-opératoires chez l'adulte.

 

Contre indications : pourquoi ne pas le prendre ?

CONTRE-INDIQUE :
Allergie à l'un des composants.
DECONSEILLE :
Allaitement : en cas d'allaitement ou de désir d'allaitement, et compte tenu du passage de l'ondansétron dans le lait maternel, l'utilisation de ce produit est déconseillée.

 

Posologie et mode d'administration

- L'utilisation de la seringue préremplie nécessite l'administration du volume total (2 ml ou 4 ml) de la seringue.
- Les patients pour lesquels la dose de 4 mg ou 8 mg n'est pas adaptée devront utiliser les ampoules de 2 ml et 4 ml [se référer au Résumé des Caractéristiques du Produit d'ondansétron 2 mg/ml, solution injectable en ampoule (IV)].
ADULTES, A PARTIR DE 15 ANS
:
- Nausées et vomissements induits par les traitements cytotoxiques :
. La dose initiale habituelle est de 8 mg, soit l'équivalent d'une seringue préremplie de 4 ml.
L'administration peut se faire, soit en IV lente 30 minutes avant la chimiothérapie ou la radiothérapie, soit en comprimé, lyophilisat ou sirop 2 heures avant la chimiothérapie moyennement émétisante ou la radiothérapie.
. Dans certaines circonstances (utilisation de drogues cytotoxiques très émétisantes et/ou prescrites à très fortes doses, facteurs liés au patient tels que sujets jeunes, de sexe féminin, ayant l'expérience de phénomènes émétiques lors de précédents traitements cytotoxiques...), une dose plus élevée (32 mg en IV lente sur plus de 15 minutes avant le début du traitement cytotoxique, ou 8 mg en IV lente suivis d'une perfusion de 1 mg/heure sur 24 heures ou 8 mg en IV lente suivis de 2 injections de 8 mg en IV lente à 4 heures d'intervalle) et/ou une association à une corticothérapie pourront être utilisées d'emblée.
- Nausées et vomissements post-opératoires :
4 mg en IV lente.
ENFANTS :
La seringue préremplie d'ondansétron n'est pas adaptée à l'utilisation chez l'enfant de moins de 15 ans en raison de la nécessité d'adapter la posologie en fonction de la surface corporelle. Aussi, pour toute administration d'une solution injectable d'ondansétron chez l'enfant de moins de 15 ans, il est nécessaire d'utiliser la solution injectable en ampoule.
PATIENTS AGES :
Chez les patients âgés de plus de 65 ans, l'efficacité et la tolérance ont été semblables à ce qui est observé chez les adultes plus jeunes.
INSUFFISANTS HEPATIQUES :
Il est recommandé de ne pas dépasser une dose totale journalière de 8 mg chez ces patients.
PATIENTS METABOLISEURS LENTS :
Le métabolisme de la spartéine et de la débrisoquine au niveau du cytochrome P450 n'est pas modifié. Aucune adaptation posologique n'est donc nécessaire chez ce type de patients.
COMPATIBILITE AVEC LES LIQUIDES DE PERFUSION :
- En accord avec les bonnes pratiques pharmaceutiques, les solutions de perfusion doivent être préparées extemporanément. Toutefois, il a été prouvé qu'ondansétron injectable est stable 7 jours à température ambiante (au-dessous de 25°C) sous éclairage fluorescent ou dans un réfrigérateur lorsqu'il est dilué dans les liquides de perfusion suivants :
. chlorure de Sodium à 0,9%,
. soluté glucosé à 5%,
. soluté de Mannitol à 10%,
. solution de Ringer,
. soluté de chlorure de potassium à 0,3% + chlorure de sodium à 0,9%,
. soluté de chlorure de potassium à 0,3% + soluté glucosé à 5%.
- Des études de compatibilité ont été effectuées : les solutions d'ondansétron sont stables :
. dans les poches à perfusion en chlorure de polyvinyle,
. dans les nécessaires de perfusion en chlorure de polyvinyle,
. dans les poches de perfusion en polyéthylène,
. dans les flacons en verre de type I.
- Les solutions d'ondansétron dans un soluté de chlorure de sodium à 0,9% ou de glucose à 5% administrées dans des seringues en polypropylène sont stables. On peut donc considérer que l'ondansétron injectable, dilué avec les autres liquides de perfusion compatibles, est stable dans des seringues en polypropylène.
- Remarque : La préparation doit être faite dans des conditions aseptiques appropriées.
COMPATIBILITE AVEC D'AUTRES PRODUITS :
- L'ondansétron peut être administré en perfusion intraveineuse à partir d'une poche de perfusion ou d'une seringue électrique.
- Les produits suivants peuvent être administrés simultanément au niveau d'une perfusion en Y pour peu que les concentrations d'ondansétron soient comprises entre 16 µg/ml et 160 µg/ml (c'est-à-dire 8 mg pour 500 ml et 8 mg pour 50 ml respectivement) :
. Cisplatine :
A des concentrations n'excédant pas 0,48 mg/ml (c'est-à-dire 240 mg dans 500 ml) administrées sur 1 à 8 heures.
. 5-Fluorouracile :
A des concentrations n'excédant pas 0,8 mg/ml (c'est-à-dire 2,4 g dans 3 L ou 400 mg dans 500 ml) administrées à un débit d'au moins 20 ml par heure (500 ml par 24 heures). Des concentrations plus élevées de 5-fluorouracile peuvent provoquer une précipitation d'ondansétron. Les perfusions de 5-fluorouracile peuvent contenir jusqu'à 0,045% de chlorure de magnésium en addition des autres excipients compatibles.
. Carboplatine :
A des concentrations allant de 0,18 mg/ml à 9,9 mg/ml (c'est-à-dire 90 mg dans 500 ml à 990 mg dans 100 ml), administrées sur une période de 10 minutes à une heure.
. Etoposide :
A des concentrations allant de 0,14 mg/ml à 0,25 mg/ml (c'est-à-dire 72 mg dans 500 ml à 250 mg dans 1 litre), administrées sur une période de 30 minutes à une heure.
. Cyclophosphamide :
A des doses de 100 mg à 1 g diluées avec de l'eau pour préparations injectables, 5 ml pour 100 mg de cyclophosphamide selon les recommandations du fabricant et administrées en bolus IV sur environ 5 minutes.
. Doxorubicine :
A des doses de 10 à 100 mg reconstituées avec de l'eau pour préparations injectables, 5 ml pour 10 mg de doxorubicine selon les recommandations du fabricant et administrées en bolus IV sur environ 5 minutes.
. Ceftazidime :
A des doses de 250 mg à 2000 mg diluées dans de l'eau pour préparations injectables selon les recommandations du fabricant (c'est-à-dire 2,5 ml pour 250 mg et 10 ml pour 2 g de ceftazidime) et administrées en bolus IV sur environ 5 minutes.

Solution incolore.

 

Mises en garde et précautions d'emploi

MISES EN GARDE :
- Enfants :
La seringue préremplie d'ondansétron n'est pas adaptée à l'utilisation chez l'enfant de moins de 15 ans en raison de la nécessité d'adapter la posologie en fonction de la surface corporelle. Aussi, pour toute administration d'une solution injectable d'ondansétron chez l'enfant de moins de 15 ans, il est nécessaire d'utiliser la solution injectable en ampoule.
- Un bilan cardiovasculaire doit être effectué en cas de survenue de douleurs thoraciques et de syncope, ou de troubles du rythme cardiaque.
- Prendre en compte le risque éventuel d'hypersensibilité croisée avec les autres antagonistes des récepteurs 5-HT3.
- Le protecteur de l'embout de la seringue préremplie contient un dérivé naturel du latex pouvant être la source de réactions allergiques chez les personnes sensibles au latex.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- En cas d'insuffisance hépatique sévère, les paramètres pharmacocinétiques de l'ondansétron sont significativement modifiés : réduction de la clairance plasmatique totale, augmentation de la demi-vie plasmatique.
- L'ondansétron pouvant favoriser un syndrome occlusif, il convient de surveiller attentivement le transit des patients en cours de traitement (voir effets indésirables : constipation, pouvant, dans de rares cas, se compliquer d'iléus ou d'occlusion intestinale, en particulier chez des patients présentant des facteurs de risque associés : ralentisseurs du transit, antécédents de chirurgie digestive...).
- En cas de régime désodé ou hyposodé, tenir compte de la teneur en sodium, soit 9 mg de chlorure de sodium par ml.
- Grossesse : les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène de l'ondansétron. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de l'ondansétron lorsqu'il est administré pendant la grossesse. En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'ondansétron pendant la grossesse.

 

Grossesse et allaitement

Grossesse :
Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène de l'ondansétron. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu.
En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de l'ondansétron lorsqu'il est administré pendant la grossesse.
En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'ondansétron pendant la grossesse.
Allaitement :
En cas d'allaitement ou de désir d'allaitement, et compte tenu du passage de l'ondansétron dans le lait maternel, l'utilisation de ce produit est déconseillée.

 

Effets indésirables

- Les effets indésirables sont listés ci-dessous par classe-organe et par fréquence. Les fréquences sont définies en : très fréquent (> = 1/10), fréquent (> = 1/100 et < 1/10), peu fréquent (> = 1/1000 et < 1/100), rare (> = 1/10000 et < 1/1000) et très rare (< 1/10000) y compris les cas isolés.
- Les fréquences ci-dessous ont été estimées sur la base des recommandations posologiques standard d'ondansétron en fonction des indications thérapeutiques et des présentations pharmaceutiques.
- Affections du système immunitaire :
Des cas de réactions allergiques immédiates, quelquefois sévères incluant des réactions anaphylactiques, ont été signalés.
- Affections du système nerveux :
. Très fréquent : Céphalées.
. Des cas de syndromes extra-pyramidaux, tels que des crises oculogyres, des dystonies, des dyskinésies, ainsi que des convulsions ont été signalés.
. Des cas de vertiges au cours des injections IV rapides ont été signalés.
- Affections oculaires :
. Des cas de troubles visuels transitoires au cours des injections IV rapides ont été signalés.
. Cécité transitoire principalement lors de l'administration d'ondansétron par voie injectable.
- Affections cardiaques :
. Peu fréquent : Troubles du rythme, douleurs thoraciques avec ou sans décalage du segment ST, bradycardie.
. Modification transitoire de l'ECG incluant un allongement de l'intervalle QT, principalement au cours des injections IV.
- Affections vasculaires :
. Fréquent : Bouffées de chaleur ou flush.
. Des cas d'hypotension ont été signalés.
- Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales :
Des cas de hoquets ont été signalés.
- Affections gastro-intestinales :
. Fréquent : Constipation, pouvant, dans de rares cas, se compliquer d'iléus ou d'occlusion intestinale, en particulier chez des patients présentant des facteurs de risque associés : ralentisseurs du transit, antécédents de chirurgie digestive...
. Des cas de sensation de brûlure anorectale après administration de suppositoire ont été signalés.
- Affections hépatobiliaires :
Peu fréquent : Anomalies biologiques hépatiques observées fréquemment chez les patients recevant une chimiothérapie comprenant du cisplatine.
- Troubles généraux et anomalies au site d'administration :
. Fréquent : Réactions au point d'injection ou le long de la veine perfusée (érythème, urticaire, prurit, douleur).
. Rare : Veinites.

 

Surdosage

- Un surdosage en ondansétron peut entraîner les effets indésirables déjà mentionnés dans le paragraphe effets indésirables.
- Il n'existe pas d'antidote spécifique de l'ondansétron. Par conséquent, en cas de surdosage, seule une thérapeutique symptomatique appropriée sera instaurée.

 

Propriétés pharmacologiques

ANTAGONISTE DE LA SEROTONINE.
Code ATC : A04AA01.
(A : appareil digestif et métabolisme).
- L'ondansétron est un antagoniste des récepteurs 5-HT3 à la sérotonine, impliqués dans les phénomènes de réflexe émétique.
- L'administration d'ondansétron ne modifie pas les taux sériques de prolactine.

- L'ondansétron est métabolisé principalement par voie hépatique et les métabolites sont excrétés dans les fèces et l'urine.
- Après administration IV, le pic sérique est atteint en environ 15 minutes. La concentration au pic est de 95,6 ng/ml. La demi-vie d'élimination est d'environ 3 heures ; cependant, elle peut être prolongée jusqu'à 5 heures chez le sujet âgé.
- La liaison aux protéines plasmatiques est de 70 à 76%.

 

Durée et précautions particulières de conservation

Durée de conservation :
2 ans.
Après dilution, la stabilité physicochimique a été démontrée pendant 7 jours à 25°C et entre + 2° et + 8°C (au réfrigérateur).
Toutefois d'un point de vue microbiologique, le produit doit être utilisé immédiatement. En cas d'utilisation non immédiate, les durées et conditions de conservation après dilution et avant administration relèvent de la seule responsabilité de l'utilisateur et ne devraient pas dépasser 24 heures entre + 2 et + 8°C.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température ne dépassant pas 30°C.
A conserver dans l'emballage extérieur d'origine, à l'abri de la lumière.

- L'ondansétron injectable est incompatible avec les solutions bicarbonatées.
- Ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments dans la même seringue ou la même perfusion à l'exception de ceux mentionnés dans la rubrique instructions pour l'utilisation, la manipulation et l'élimination : chlorure de sodium à 0,9%, solution de glucose à 5%, solution de mannitol à 10%, solution de Ringer, solution de chlorure de potassium à 0,3% + chlorure de sodium à 0,9%, solution de chlorure de potassium à 0,3% + solution de glucose à 5%.
- Les produits suivants peuvent être administrés simultanément au niveau d'une perfusion en Y pour peu que les concentrations d'ondansétron soient comprises entre 16 µg/ml et 160 µg/ml (c'est-à-dire 8 mg pour 500 ml et 8 mg pour 50 ml respectivement) :
. Cisplatine :
A des concentrations n'excédant pas 0,48 mg/ml (c'est-à-dire 240 mg dans 500 ml) administrées sur 1 à 8 heures.
. 5-Fluorouracile :
A des concentrations n'excédant pas 0,8 mg/ml (c'est-à-dire 2,4 g dans 3 L ou 400 mg dans 500 ml) administrées à un débit d'au moins 20 ml par heure (500 ml par 24 heures). Des concentrations plus élevées de 5-fluorouracile peuvent provoquer une précipitation d'ondansétron. Les perfusions de 5-fluorouracile peuvent contenir jusqu'à 0,045% de chlorure de magnésium en addition des autres excipients compatibles.
. Carboplatine :
A des concentrations allant de 0,18 mg/ml à 9,9 mg/ml (c'est-à-dire 90 mg dans 500 ml à 990 mg dans 100 ml), administrées sur une période de 10 minutes à une heure.
. Etoposide :
A des concentrations allant de 0,14 mg/ml à 0,25 mg/ml (c'est-à-dire 72 mg dans 500 ml à 250 mg dans 1 litre), administrées sur une période de 30 minutes à une heure.
. Cyclophosphamide :
A des doses de 100 mg à 1 g diluées avec de l'eau pour préparations injectables, 5 ml pour 100 mg de cyclophosphamide selon les recommandations du fabricant et administrées en bolus IV sur environ 5 minutes.
. Doxorubicine :
A des doses de 10 à 100 mg reconstituées avec de l'eau pour préparations injectables, 5 ml pour 10 mg de doxorubicine selon les recommandations du fabricant et administrées en bolus IV sur environ 5 minutes.
. Ceftazidime :
A des doses de 250 mg à 2000 mg diluées dans de l'eau pour préparations injectables selon les recommandations du fabricant (c'est-à-dire 2,5 ml pour 250 mg et 10 ml pour 2 g de ceftazidime) et administrées en bolus IV sur environ 5 minutes.

- Ce médicament peut être dilué dans les liquides ou perfusion suivants :
. Chlorure de sodium à 0,9%,
. Solution de glucose à 5%,
. Solution de mannitol à 10%,
. Solution de Ringer,
. Solution de chlorure de potassium à 0,3% + chlorure de sodium à 0,9%,
. Solution de chlorure de potassium à 0,3% + solution de glucose à 5%.
- Tout produit non utilisé ou déchet devra être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.

2 ml en seringue préremplie (verre incolore de type I), boîte de 5.

 

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