Brimonidine chauvin 2 mg/ml, collyre en solution, flacon compte-gouttes de 5 ml
- À propos
- Indications: pourquoi le prendre?
- Contre indications: pourquoi ne pas le prendre?
- Posologie et mode d'administration
- Mises en garde et précautions d'emploi
- Grossesse et allaitement
- Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
- Effets indésirables
- Surdosage
- Effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
- Propriétés pharmacologiques
- Durée et précautions particulières de conservation
Brimonidine chauvin 2 mg/ml est un médicament générique sous forme de collyre en solution à base de Brimonidine ((2 mg/mL)).
Autorisation de mise sur le marché le 01/07/2009 par CHAUVIN au prix de 4,20€.
À propos
- Tartrate de brimonidine
Principes actifs
- Benzalkonium chlorure
- Polyvinylique alcool
- Sodium chlorure
- Sodium citrate (E331)
- Citrique acide (E330)
- Eau purifiée
- Chlorhydrique acide (E507)
- Sodium hydroxyde (E524)
Excipients
organes sensoriels
médicaments ophtalmologiques
antiglaucomateux et myotiques
sympathomimétiques antiglaucomateux
brimonidine
Classification ATC
Statut
Ce médicament est autorisé sur le marché depuis le 01/07/2009.
Indications : pourquoi le prendre?
Indications d’utilisation- Glaucome à angle ouvert
- Hypertension oculaire
Indications thérapeutiques
Réduction de la pression intraoculaire (PIO) élevée chez les patients ayant un glaucome à angle ouvert ou une hypertension oculaire.
· En monothérapie chez les patients présentant une contre-indication aux bêtabloquants à usage local.
· En association avec d'autres traitements diminuant la pression intraoculaire dans le cas où une monothérapie ne permet pas d'atteindre la PIO cible (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques).
Contre indications : pourquoi ne pas le prendre ?
· Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients
· Nouveau-nés et nourrissons (voir rubrique Effets indésirables).
· Patients recevant un traitement par inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO) ou un antidépresseur affectant la transmission noradrénergique (antidépresseurs tricycliques et miansérine par exemple).
Posologie et mode d'administration
Posologie recommandée chez l'adulte (y compris le sujet âgé)
La posologie recommandée est d'une goutte de brimonidine deux fois par jour dans l'oeil ou les yeux atteint(s), les instillations devant être espacées d'environ 12 heures. L'utilisation du collyre chez les patients âgés ne requiert aucune adaptation posologique.
Comme c'est le cas avec tous les collyres, afin de réduire une absorption systémique possible, il est recommandé de comprimer le sac lacrymal au niveau du canthus interne (compression manuelle des points lacrymaux) pendant une minute. Cela doit être effectué immédiatement après l'instillation de chaque goutte.
En cas d'utilisation de plusieurs produits ophtalmiques à usage local, les instillations des différents produits doivent être espacées de 5 à 15 minutes.
Utilisation chez l'insuffisant rénal ou hépatique
La brimonidine n'a pas été étudiée chez les patients atteints d'insuffisance hépatique ou rénale (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
Utilisation chez les enfants et les adolescents
Aucune étude clinique n'a été menée chez l'adolescent (12 à 17 ans).
La brimonidine ne doit pas être utilisée chez l'enfant en dessous de 12 ans et elle est contre-indiquée chez le nouveau-né et le nourrisson (âgé de moins de 2 ans) (voir rubrique Contre-indications, rubrique Mises en garde et précautions d'emploi et rubrique Surdosage). Des effets indésirables sévères ont été rapportés chez les nouveau-nés. Chez les enfants, l'innocuité et l'efficacité de la brimonidine n'ont pas été établies.
Solution limpide, de couleur jaune à légèrement vert.
Mises en garde et précautions d'emploi
Les enfants à partir de l'âge de 2 ans, particulièrement ceux âgés de 2 à 7 ans et/ou pesant moins de 20 kg, doivent être traités avec prudence et doivent être étroitement suivis en raison du risque élevé et sévère de somnolence (voir rubrique Effets indésirables).
Une attention particulière doit être portée chez les patients atteints d'une maladie cardiovasculaire sévère ou instable et incontrôlée.
Lors des essais cliniques, des patients (12,7 %) ont présenté une réaction oculaire de type allergique avec la brimonidine (voir rubrique Effets indésirables). En cas de réaction allergique, le traitement avec la brimonidine doit être arrêté.
Des réactions oculaires d'hypersensibilité retardée ont été rapportées avec la brimonidine, certaines étaient associées à une augmentation de la pression intraoculaire (PIO).
La brimonidine doit être utilisée avec précaution en cas de dépression, d'insuffisance vasculaire cérébrale ou d'insuffisance coronarienne, de syndrome de Raynaud, d'hypotension orthostatique ou de thromboangéite oblitérante.
La brimonidine n'a pas été étudiée chez les patients ayant une insuffisance rénale ou hépatique ; une attention particulière est nécessaire en cas de traitement de ces patients.
Le chlorure de benzalkonium, agent conservateur présent dans BRIMONIDINE CHAUVIN est susceptible d'entraîner une irritation oculaire. Il faut éviter son utilisation avec les lentilles de contact souples. Il convient de retirer les lentilles de contact avant l'utilisation du collyre et d'attendre au moins 15 minutes avant de les remettre. Le chlorure de benzalkonium est susceptible de colorer les lentilles de contact souples.
Grossesse et allaitement
La sécurité d'emploi au cours de la grossesse n'a pas été établie.
Lors des études chez l'animal, le tartrate de brimonidine n'a pas entrainé d'effet tératogène. Chez le lapin, le tartrate de brimonidine, à des concentrations plasmatiques supérieures à celles obtenues lors du traitement chez l'homme, a provoqué des pertes plus importantes lors de la période de préimplantation et une réduction de la croissance postnatale.
La brimonidine ne doit être utilisée durant la grossesse que lorsque les bénéfices potentiels pour la mère dépassent les risques potentiels encourus par le foetus.
Il n'a pas été établi si la brimonidine est excrétée dans le lait maternel. Le produit est excrété dans le lait des rates allaitantes. La brimonidine ne doit pas être utilisée pendant l'allaitement.
Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
La brimonidine est contre-indiquée chez les patients recevant un traitement inhibiteur de la monoamine oxydase (MAO) et chez ceux sous antidépresseurs affectant la transmission noradrénergique (ex : les antidépresseurs tricycliques et la miansérine).
Bien qu'il n'y ait pas d'étude spécifique d'interactions médicamenteuses réalisées avec la brimonidine, la possibilité d'un effet additif ou potentialisateur en cas de prise de dépresseurs du système nerveux central (alcool, barbituriques, opiacés, sédatifs ou anesthésiques) doit être prise en compte.
On ne dispose d'aucune information concernant le taux des catécholamines circulantes après administration de brimonidine. Il convient en conséquence de faire preuve de vigilance chez les patients prenant des médicaments risquant d'affecter le métabolisme et la fixation des amines circulantes (ex : chlorpromazine, méthyltphénidate et la réserpine).
Après l'instillation de brimonidine, on a observé chez certains patients des diminutions de la tension artérielle non significatives du point de vue clinique. Il convient d'être vigilant en cas de prise concomitante de brimonidine et d'antihypertenseurs et/ou de glucosides cardiotoniques.
Une attention particulière est recommandée lors de l'instauration (ou de la modification de la posologie) d'un traitement systémique concomitant (quelle que soit la forme pharmaceutique) susceptible d'interagir avec les agonistes alpha-adrénergiques ou d'interférer avec leur activité, tels que les agonistes ou antagonistes des récepteurs adrénergiques (ex : isoprénaline, prazosine).
Effets indésirables
Les effets indésirables les plus communément rapportés sont une sécheresse buccale, une hyperhémie oculaire, des sensations de brûlures ou de picotement, survenant chez 22 à 25 % des patients. Ils sont généralement transitoires et rarement assez sévères pour nécessiter l'arrêt du traitement.
Dans les études cliniques, des symptômes de réactions allergiques oculaires ont été observés chez 12,7 % des patients (entraînant l'arrêt du traitement chez 11,5 % des patients) et sont survenus dans les 3 à 9 mois de traitement chez la majorité des patients.
Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés suivant un ordre décroissant de gravité.
Les terminologies suivantes ont été utilisées pour classifier la fréquence des effets indésirables :
Très fréquent (³ 1/10) ; fréquent (³ 1/100, <1/10) ; peu fréquent (³/1000, <1/100) ; rare (³1/10000, <1/1000) ; très rare (<1/10000) ; fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Affections cardiaques
Peu fréquent : palpitations/arythmie (comprenant bradycardie et tachycardie).
Affections du système nerveux
Très fréquent : maux de tête, somnolence.
Fréquent : vertiges, goût anormal.
Très rare : syncope.
Affections oculaires
Très fréquent : irritation oculaire incluant des réactions allergiques (hyperhémie, brûlures et picotements, prurit, sensation de corps étranger, et follicules conjonctivaux), vision trouble, blépharite allergique, blépharoconjonctivite allergique, conjonctivite allergique, réaction allergique oculaire, et conjonctivite folliculaire.
Fréquent : irritation locale (hyperhémie et oedème de la paupière, blépharite, oedème conjonctival et sécrétions, douleur oculaire et larmoiement), photophobie, érosion et coloration cornéennes, sécheresse oculaire, blanchiment conjonctival, vision anormale, conjonctivite.
Très rare : iritis (uvéite antérieure), myosis.
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Fréquent : symptômes des voies respiratoires supérieures.
Peu fréquent : sécheresse nasale.
Rare : dyspnée.
Affections gastro-intestinales
Très fréquent : sécheresse buccale.
Fréquent : symptômes gastro-intestinaux.
Affections vasculaires
Très rare : hypertension, hypotension.
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Très fréquent : fatigue.
Fréquent : asthénie.
Affections du système immunitaire
Peu fréquent : réactions allergiques systémiques.
Affections psychiatriques
Peu fréquent : dépression.
Très rare : insomnie.
Les effets indésirables suivants ont été identifiés en usage post-commercialisation de la brimonidine. Puisque ces effets ont été rapportés volontairement sur une population de taille inconnue, il n'est pas possible d'estimer la fréquence.
Affections oculaires
Fréquence indéterminée : iridocyclite (uvéite antérieure), prurit de la paupière.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Fréquence indéterminée : réactions cutanées y compris érythème, oedème du visage, prurit, rash et vasodilatation.
Des symptômes de surdosage en brimonidine (notamment perte de connaissance, léthargie, somnolence, hypotension, hypotonie, bradycardie, hypothermie, cyanose, pâleur, dépression, respiratoire et apnée) ont été décrits chez des nouveau-nés et des nourrissons recevant ce produit dans le cadre du traitement d'un glaucome congénital (voir rubrique Contre-indications).
Dans une étude de phase III d'une durée de 3 mois, chez des enfants âgés de 2 à 7 ans, présentant un glaucome non contrôlé sous bêta-bloquants, une prévalence importante (55 %) de somnolence a été rapportée avec la brimonidine utilisée en association. Chez 8 % des enfants, celle-ci était sévère et a conduit à un arrêt du traitement dans 13 % des cas. L'incidence de la somnolence a diminué avec l'augmentation de l'âge, en étant minimale dans le groupe de sujets âgés de 7 ans (25 %) mais elle était plus liée au poids, apparaissant plus fréquemment chez les enfants d'un poids inférieur ou égal à 20 kg (63 %) que chez ceux d'un poids supérieur à 20 kg (25 %) (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr
Surdosage
Surdosage ophtalmique (Adultes)
Parmi les cas de surdosage reçus, les évènements rapportés étaient généralement listés en tant qu'effets indésirables.
Surdosage résultant d'une ingestion accidentelle (Adultes)
Il existe très peu d'information concernant l'ingestion accidentelle de brimonidine chez les adultes.
Le seul effet indésirable rapporté à ce jour est une hypotension. Cet épisode d'hypotension a été suivi d'une hypertension rebond.
Le traitement d'un surdosage par voie orale consiste en une thérapie symptomatique et de support; les voies respiratoires du patient doivent être surveillées.
Des cas de surdosage oral avec d'autres alpha-2-agonistes ont été rapportés ; ils ont provoqué des symptômes tel que hypotension, asthénie, vomissement, léthargie, sédation, bradycardie, arythmie, myosis, apnée, hypotonie, hypothermie, dépression respiratoire et convulsion.
Population pédiatrique
Des cas d'effets indésirables graves à la suite d'une ingestion accidentelle de brimonidine par des enfants ont été publiés ou notifiés. Les sujets ont présenté des symptômes de dépression du système nerveux central, typiquement un coma transitoire ou un faible niveau de conscience, une léthargie, une somnolence ainsi qu'une hypotonie, une bradycardie, une hypothermie, une pâleur, une dépression respiratoire et une apnée, qui ont nécessité une admission en unité de soins intensifs avec intubation si nécessaire. L'évolution a été favorable chez tous les sujets, en général dans les 6 à 24 heures.
Effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
La brimonidine a une influence mineure ou modérée sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
La brimonidine est susceptible d'entraîner une fatigue et/ou somnolence pouvant altérer la capacité à conduire ou à utiliser des machines.
La brimonidine est susceptible d'entraîner une vision trouble et/ou anormale pouvant altérer la capacité à conduire ou à utiliser des machines en particulier la nuit ou en cas de réduction de la luminosité.
Le patient doit attendre la fin de ces symptômes avant de conduire ou d'utiliser des machines.
Propriétés pharmacologiques
Classe pharmacothérapeutique : sympathomimétiques antiglaucomateux.
Code ATC : S01EA05
La brimonidine est un agoniste des récepteurs alpha-2 adrénergiques qui est 1000 fois plus sélectif pour les récepteurs alpha-2 adrénergiques que pour les récepteurs alpha-1 adrénergiques.
Du fait de cette sélectivité, il n'est observé aucune mydriase ni vasoconstriction des microvaisseaux, associée aux xénogreffes de rétine humaine.
Une administration locale de tartrate de brimonidine diminue la pression intraoculaire (PIO) chez l'homme et n'affecte que de façon minime les paramètres cardiovasculaires ou pulmonaires.
Des données restreintes sur des patients atteints d'asthme bronchique n'ont pas mis en évidence d'effet néfaste.
La brimonidine a un délai d'action rapide, l'effet hypotenseur oculaire maximum étant observé deux heures après l'administration. Dans deux études cliniques d'une durée d'un an, les diminutions moyennes de PIO obtenues avec la brimonidine étaient approximativement comprises entre 4 à 6 mmHg.
Des études fluorophotométriques menées chez l'animal et chez l'homme suggèrent que le tartrate de brimonidine possède un double mécanisme d'action. On considère que la brimonidine diminue la PIO en réduisant la formation d'humeur aqueuse et en augmentant l'écoulement de l'humeur aqueuse par la voie uvéosclérale.
Des essais cliniques montrent que la brimonidine est efficace en association avec des bêtabloquants à usage local. Des études plus courtes montreraient également que la brimonidine a un effet additionnel cliniquement significatif en association avec le travoprost (6 semaines) et le latanoprost (3 mois).
a) Caractéristiques générales
Après administration oculaire d'une solution à 0,2 % deux fois par jour pendant 10 jours, les concentrations plasmatiques étaient faibles (Cmax moyenne égale à 0,06 ng/ml). Une légère accumulation dans le sang a été observée après instillations répétées (2 fois par jour pendant 10 jours). L'aire sous la courbe « concentrations plasmatiques/temps » sur 12 heures à l'état d'équilibre (AUC-12h) était égale à 0,31 ng·h/ml, contre 0,23 ng·h/ml après la première dose. La demi-vie apparente moyenne dans la circulation générale était d'environ 3 heures chez l'homme après administration locale.
Chez l'homme, le taux de fixation aux protéines plasmatiques de la brimonidine après une administration locale est d'environ 29 %.
La brimonidine est liée de façon réversible à la mélanine dans les tissus oculaires, in vitro et in vivo. Après 2 semaines d'instillations oculaires, les concentrations de brimonidine dans l'iris, le corps ciliaire et la chorio-rétine, étaient 3 à 17 fois supérieures à celles observées après instillation unique. Il n'y a pas d'accumulation en l'absence de mélanine.
L'importance de la liaison avec la mélanine chez l'homme est mal connue. Cependant, aucun effet oculaire néfaste n'a été trouvé lors de l'examen biomicroscopique des yeux de patients traités par la brimonidine pendant des périodes allant jusqu'à un an ; de même, aucune toxicité oculaire significative n'a été trouvée au cours d'une étude de tolérance oculaire d'un an chez le singe recevant environ quatre fois la dose recommandée de tartrate de brimonidine.
Après administration orale chez l'homme, la brimonidine est bien absorbée et rapidement éliminée. La plus grande partie de la dose (environ 75 %) est excrétée dans l'urine sous forme de métabolites dans un délai de 5 jours ; aucun produit non métabolisé n'a été détecté dans l'urine.
Des études in vitro utilisant du foie animal et humain montrent que le métabolisme fait largement intervenir l'aldéhyde oxydase et le cytochrome P450. En conséquence, l'élimination systémique semble être due en priorité à un métabolisme hépatique.
Profil cinétique :
Après une instillation oculaire unique des concentrations de 0,08 %, 0,2 % et 0,5 %, aucun écart significatif de la linéarité de la cinétique d'absorption (mesurée par les Cmax plasmatiques et les aires sous la courbe (AUC)) n'est observé.
b) Caractéristiques chez les patients
Caractéristiques chez les patients âgés :
Chez les patients âgés (sujets de 65 ans ou plus), la Cmax, l'aire sous la courbe (AUC) et la demi-vie apparente de la brimonidine sont similaires, après instillation unique, à celles observées chez les adultes jeunes, ce qui indique que l'âge n'influe pas sur l'absorption et l'élimination systémiques du produit.
D'après les données d'une étude clinique de 3 mois qui incluait des patients âgés, l'exposition systémique à la brimonidine a été très faible.
Durée et précautions particulières de conservation
Durée de conservation :
Avant ouverture: 4 ans.
Après ouverture: à utiliser dans les 28 jours suivant l'ouverture du flacon.
Précautions particulières de conservation :Pas de précautions particulières de conservation.
5 ml de solution dans un flacon en polyéthylène basse densité (PEBD) de couleur blanche, muni d'un embout compte-gouttes transparent en polyéthylène basse densité (PEBD) (environ 35 microlitres) et recouvert d'un bouchon blanc en polyéthylène haute densité (PEHD).
Flacon de 5 ml, par boîte de 1 unité.