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Cervarix injectable boîte de 1 seringue préremplie (+ 1 aiguille) de ½ ml

Cervarix est un médicament sous forme de suspension injectable.
Autorisation de mise sur le marché le 20/09/2007 par GLAXOSMITHKLINE au prix de 109,32€.

 

À propos

    Principes actifs

  • Protéine L1 de Papillomavirus Humain(1) de type 16
  • Protéine L1 de Papillomavirus Humain(1) de type 18

    Excipients

  • Sodium chlorure
  • Phosphate monosodique
  • Eau pour préparations injectables
  • Adjuvant AS04 contenant :
  • 3-O-desacyl-4'-monophosphoryl lipide A
  • Aluminium hydroxyde

    Classification ATC

    • anti-infectieux generaux à usage systémique

      • vaccins

        • vaccins viraux

          • vaccin contre papillomavirus

            • vaccin papillomavirus (humain type 16, 18)

    Statut

    Ce médicament est autorisé sur le marché depuis le 20/09/2007.

 

Indications : pourquoi le prendre?

Indications d’utilisation
  • Prévention des lésions précancéreuses de la vulve et du vagin dues aux HPV 16, 18
  • Prévention des lésions précancéreuses du col de l'utérus dues aux HPV 16, 18
  • Prévention du cancer du col de l'utérus dû aux HPV 16, 18

Indications thérapeutiques

Cervarix est un vaccin indiqué, à partir de l'âge de 9 ans, dans la prévention des lésions ano-génitales précancéreuses (du col de l'utérus, de la vulve, du vagin et de l'anus) et des cancers du col de l'utérus et de l'anus dus à certains types oncogènes de Papillomavirus Humains (HPV). Voir rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Propriétés pharmacodynamiques pour des informations importantes concernant les données soutenant cette indication.

Cervarix doit être administré selon les recommandations officielles.

Avis du Haut Conseil de la santé publique du 28/09/12 :

 Le Haut Conseil de la santé publique recommande, en cohérence avec les dernières données de l’ECDC que :
• la vaccination des jeunes filles contre le papillomavirus puisse être pratiquée entre les âges de 11 et 14 ans ;
• toute opportunité, y compris le rendez-vous vaccinal de 11-14 ans, soit mise à profit :
   o pour initier la vaccination de celles qui ne l’auraient pas encore faite avec une possibilité de co-administration avec un autre vaccin : vaccin tétravalent diphtérie-tétanos-coqueluche-polio, vaccin hépatite B ;
   o ou pour compléter un schéma incomplet et notamment pour administrer la 3ème dose de vaccin à celles qui ne l’auraient pas encore reçue ;
• l’âge de rattrapage soit limité à 20 ans (i.e. 19 ans révolus). Cette vaccination n’est plus sous-tendue par la notion de l’âge de début de l’activité sexuelle, même si le vaccin sera d’autant plus efficace que les jeunes filles n’auront pas encore été infectées par les papillomavirus ciblés par la vaccination.

 

Contre indications : pourquoi ne pas le prendre ?

Hypersensibilité aux substances actives ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique Composition.

 

Posologie et mode d'administration

Posologie

Le schéma de vaccination dépend de l'âge du sujet.

Age au moment de la première

injection

Vaccination et schéma

De 9 à 14 ans inclus*

Deux doses de 0,5 ml chacune. La deuxième dose est administrée entre 5 et 13 mois après la première dose

A partir 15 ans et plus

Trois doses de 0,5 ml chacune à 0, 1, 6 mois**

 

* Si la deuxième dose de vaccin est administrée avant le 5ème mois suivant la première dose, une troisième dose doit toujours être administrée.

** Si une flexibilité est nécessaire dans le schéma vaccinal, la deuxième dose peut être administrée entre 1 mois et 2,5 mois après la première dose et la troisième dose entre 5 et 12 mois après la première dose.

 

La nécessité d'une dose de rappel n'a pas été établie (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques).

 

Il est recommandé aux sujets qui ont reçu une première dose de Cervarix de terminer le schéma de vaccination avec Cervarix (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).

 

Population pédiatrique (enfants âgés de moins de 9 ans)

 

Cervarix n'est pas recommandé chez les enfants de moins de 9 ans en raison de l'insuffisance de données de tolérance et d'immunogénicité dans cette population.

 

Mode d'administration

Cervarix doit être administré par voie intramusculaire dans la région deltoïdienne (voir aussi rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).

 

Cervarix ne doit en aucun cas être administré par voie intravasculaire ou intradermique. Il n'existe pas de donnée disponible sur l'administration de Cervarix par voie sous-cutanée (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).

 

Si Cervarix est co-administré avec un autre vaccin injectable, les vaccins doivent toujours être administrés en des sites d'injection différents (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).

Suspension trouble blanche.

 

Mises en garde et précautions d'emploi

Comme avec tous les vaccins injectables, il est recommandé de toujours disposer d'un traitement médical approprié et d'assurer une surveillance pour le cas rare où surviendrait une réaction anaphylactique suivant l'administration du vaccin.

 

Une syncope (évanouissement) peut survenir après toute vaccination, voire même avant, en particulier chez les adolescents, comme réaction psychogène à l'injection. Ceci peut s'accompagner de plusieurs signes neurologiques comme un trouble transitoire de la vision, des paresthésies et des mouvements tonico-cloniques des membres durant la phase de récupération. Il est important que des mesures soient mises en place afin d'éviter des blessures en cas d'évanouissement.

 

L'administration de Cervarix doit être différée chez les sujets souffrant d'une maladie fébrile aiguë sévère. Cependant la présence d'une infection mineure telle qu'un rhume n'est pas une contre- indication à la vaccination.

 

Ce vaccin ne doit en aucun cas être administré par voie intravasculaire ou intradermique.

 

Il n'existe pas de donnée disponible sur l'administration de Cervarix par voie sous-cutanée.

 

Comme avec les autres vaccins administrés par voie intramusculaire, Cervarix doit être administré avec précaution chez les sujets présentant une thrombocytopénie ou un trouble de la coagulation, en raison du risque de saignement qui peut survenir lors de l'administration intramusculaire du vaccin chez ces sujets.

 

Comme pour tout vaccin, une réponse immunitaire protectrice peut ne pas être obtenue chez tous les sujets vaccinés.

 

Cervarix protège uniquement contre les maladies dues aux HPV de types 16 et 18 et dans une certaine mesure contre les maladies provoquées par certains autres types d'HPV oncogènes apparentés (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques). Par conséquent, les mesures appropriées de précaution vis-à-vis des maladies sexuellement transmissibles doivent continuer à être prises.

 

Ce vaccin doit être utilisé uniquement en prévention et n'a pas d'effet sur les infections HPV en cours ni sur des maladies cliniques préexistantes dues aux HPV. Ce vaccin n'a pas démontré d'effet thérapeutique. Le vaccin n'est donc pas indiqué pour le traitement du cancer du col de l'utérus ou des néoplasies intraépithéliales cervicales (CIN). Il n'est pas non plus destiné à prévenir la progression d'autres lésions préexistantes associées aux HPV ou d'autres infections déjà présentes dues aux HPV vaccinaux ou non vaccinaux (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques « Efficacité chez les femmes ayant une infection prouvée par HPV 16 ou HPV 18 à l'entrée dans l'étude. »).

 

La vaccination ne remplace pas le dépistage en routine du cancer du col de l'utérus. Etant donné qu'aucun vaccin n'est efficace à 100% et que Cervarix ne protège pas contre tous les types d'HPV, ou contre les infections déjà existantes dues aux HPV, le dépistage en routine du cancer du col de l'utérus reste très important et doit suivre les recommandations locales.

 

La durée de la protection n'a pas encore été totalement établie. Le calendrier et la nécessité de dose(s) de rappel n'ont pas été établis.

 

A l'exception des sujets asymptomatiques infectés par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) pour lesquels des données limitées d'immunogénicité sont disponibles (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques), il n'y a pas de données sur l'utilisation de Cervarix chez les sujets qui présentent une altération de la réponse immunitaire comme, par exemple, les sujets recevant un traitement immunosuppresseur. Comme avec les autres vaccins, une réponse immunitaire satisfaisante peut ne pas être obtenue chez ces sujets.

 

On ne dispose d'aucune donnée de tolérance, immunogénicité ou efficacité pour permettre l'interchangeabilité de Cervarix avec d'autres vaccins HPV.

 

Grossesse et allaitement

Grossesse


Aucune étude spécifique utilisant ce vaccin chez la femme enceinte n’a été réalisée. Les données recueillies chez les femmes enceintes dans le cadre de registres de grossesse, d’études épidémiologiques ou lors d’exposition accidentelle au cours des essais cliniques, sont insuffisantes pour conclure qu’il existe un risque d’issues défavorables de grossesse, y compris de fausse couche suite à une vaccination avec Cervarix.

Cependant lors du programme de développement clinique, un total de 10 476 grossesses a été rapporté incluant 5 387 femmes qui avaient reçu Cervarix. De manière générale, les proportions des issues de grossesse (par exemple nouveau-né normal, nouveau-né anormal incluant les anomalies congénitales, naissance prématurée et fausse-couche) ont été comparables, quel que soit le groupe vacciné, Cervarix ou autre.

Les études chez l’animal n’ont pas montré d’effets délétères directs ou indirects sur la fertilité, la gestation, le développement embryonnaire ou foetal, la parturition ou le développement post-natal (voir rubrique Données de sécurité précliniques).

Par mesure de précaution, il est préférable d'éviter la vaccination par Cervarix pendant la grossesse.

Les femmes enceintes ou essayant de le devenir, doivent être averties de reporter ou d'interrompre leur vaccination jusqu'à la fin de leur grossesse.

Allaitement

L’effet sur les nourrissons allaités de l’administration de Cervarix chez leurs mères n’a pas été évalué dans des études cliniques.

Cervarix ne doit être utilisé pendant l’allaitement que si les avantages potentiels l’emportent sur les risques éventuels.

Fertilté

 
Il n’y a aucune donnée disponible sur la fertilté.

 

Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions

Dans toutes les études cliniques, les sujets qui avaient reçu des immunoglobulines ou des produits dérivés du sang au cours des 3 mois précédant la première dose de vaccin ont été exclus.

 

Utilisation avec d'autres vaccins

 

Cervarix peut être administré simultanément avec un vaccin combiné de rappel diphtérique (d), tétanique (T) et coquelucheux (acellulaire) avec ou sans valence poliomyélitique inactivée (P) (vaccins dTca, dTca-P), sans qu'il y ait d'interférence cliniquement pertinente avec la réponse en anticorps vis-à-vis de chacun des antigènes de l'un ou l'autre vaccin. Une tendance à une plus faible moyenne géométrique des titres (MGT) en anticorps anti-HPV-16 et anti-HPV-18 a été observée lors de l'administration séquentielle du vaccin combiné dTca-P puis un mois après de Cervarix comparativement à l'administration de Cervarix seul. La pertinence clinique de cette observation n'est pas connue.

 

Cervarix peut être administré de façon concomitante avec un vaccin combiné contre l'hépatite A (vaccin inactivé) et contre l'hépatite B (ADNr) (Twinrix) ou avec un vaccin contre l'hépatite B (ADNr) (Engerix B).

 

L'administration concomitante de Cervarix et de Twinrix (vaccin Hépatite A/Hépatite B) n'a montré aucune interférence cliniquement significative sur la réponse en anticorps vis-à-vis des antigènes HPV et hépatite A. La moyenne géométrique des concentrations en anticorps anti-HBs a été significativement plus faible après cette administration simultanée, mais la pertinence clinique de cette observation n'est pas connue étant donné que les taux de séroprotection sont restés inchangés. Le pourcentage de sujets ayant atteint une concentration en anticorps anti-HBs > 10mUI/ml a été de 98,3% après vaccination concomitante et de 100% après vaccination par Twinrix seul. Des résultats similaires ont été observés lorsque Cervarix était administré de façon concomitante avec Engerix B avec 97,9 % des sujets qui atteignaient une concentration anti-HBS > 10 mUI/ml comparé à 100 % des sujets lorsqu'Engerix B était administré seul.

 

Si Cervarix est co-administré avec un autre vaccin injectable, les vaccins doivent toujours être administrés en des sites d'injection différents.

 

Utilisation avec des hormones contraceptives

 

Au cours des études cliniques, environ 60% des femmes ayant reçu Cervarix prenaient des contraceptifs hormonaux. Il n'a pas été démontré que la contraception hormonale a un impact sur l'efficacité de Cervarix.

 

Utilisation de traitements immunosuppresseurs systémiques

 

Voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi.

 

Effets indésirables

Résumé du profil de sécurité

 

Dans les études cliniques, qui ont inclus des filles et des femmes âgées de 10 à 72 ans (parmi lesquelles 79,2% étaient âgées de 10 à 25 ans au moment de l'inclusion), 16 142 sujets de sexe féminin ont reçu Cervarix tandis que 13 811 sujets féminins ont reçu le produit contrôle. Ces sujets ont été suivis pendant toute la durée de l'étude pour détecter des événements indésirables graves. Dans un sous-groupe prédéfini de sujets (Cervarix = 8 130 versus contrôle = 5 786), les évènements indésirables ont été suivis durant les 30 jours suivant chaque injection. Au cours de deux études cliniques incluant des hommes âgés de 10 à 18 ans, 2 617 hommes ont reçu Cervarix et ont fait l'objet d'une surveillance active afin d'évaluer la tolérance du vaccin.

 

L'effet indésirable le plus fréquemment observé après l'administration du vaccin a été une douleur au site d'injection survenue après administration de 78% de l'ensemble des doses. La majorité de ces effets a été d'intensité légère à modérée et de courte durée.

 

Liste tabulée des effets indésirables

 

Les effets indésirables considérés comme étant au moins possiblement liés à la vaccination ont été classés selon leur fréquence :

 

Les fréquences sont définies comme suit :

Très fréquent (≥ 1/10)

Fréquent (≥ 1/100 et < 1/10)

Peu fréquent (≥ 1/1 000 et < 1/100)

Classe de système organe

Fréquence

Effets indésirables

Essais cliniques

Infections et infestations

Peu fréquent

Infection des voies respiratoires supérieures

Affections du système nerveux

Très fréquent

Céphalées

Peu fréquent

Sensation vertigineuse

Affections gastro-intestinales

Fréquent

Troubles gastro-intestinaux incluant nausées,

vomissements, diarrhée et douleur abdominale

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Fréquent

Démangeaisons/prurit, éruption cutanée,

urticaire

Affections musculo- squelettiques et systémiques

Très fréquent

Myalgies

Fréquent

Arthralgies

Troubles généraux et anomalies au site d'administration

Très fréquent

Réactions au site d'injection incluant douleur,

rougeur, gonflement; fatigue

Fréquent

Fièvre (≥38°C)

Peu fréquent

autres réactions au site d'injection telles que

induration, paresthésie locale

Après commercialisation

Affections hématologiques et du système lymphatique

Inconnue*

Adénopathie

Affections du système immunitaire

Inconnue*

Réactions allergiques (incluant des réactions

anaphylactiques et anaphylactoïdes), oedème de

Quincke

Affections du système nerveux

Inconnue*

Syncope ou réaction vaso-vagale à l'injection,

parfois accompagnées de mouvements tonico-

cloniques (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi)

*Etant donné que ces événements ont été notifiés de manière spontanée, il n'est pas possible d'estimer leur fréquence de façon fiable.

 

Au cours des essais cliniques, le profil de tolérance observé chez les sujets avec une infection (antérieure ou en cours) par HPV a été semblable à celui observé chez les sujets qui avaient un test ADN négatif pour les HPV oncogènes ou qui étaient séronégatifs pour les anticorps anti-HPV 16 et anti-HPV 18.

 

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration - voir Annexe V.

 

Surdosage

Aucun cas de surdosage n'a été rapporté.

 

Effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines

Les effets sur l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines n'ont pas été étudiés. Cependant, certains des effets mentionnés dans la rubrique Effets indésirables «Effets indésirables» peuvent affecter temporairement la capacité à conduire ou à utiliser des machines.

 

Durée et précautions particulières de conservation

Durée de conservation :

4 ans

 

Cervarix doit être administré dès que possible après avoir été sorti du réfrigérateur.

 

Toutefois, la stabilité a été démontrée lorsqu'il a été conservé hors du réfrigérateur jusqu'à 3 jours à des températures comprises entre 8°C et 25°C, ou bien jusqu'à 1 jour à des températures comprises entre 25°C et 37°C. Le vaccin sera jeté s'il n'a pas été utilisé à la fin de cette période.

 

Précautions particulières de conservation :

A conserver au réfrigérateur (entre 2°C et 8°C)

Ne pas congeler.

A conserver dans l'emballage extérieur d'origine à l'abri de la lumière.

En l'absence d'études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments.

Durant le stockage de la seringue, un fin dépôt blanc avec un surnageant incolore et limpide peut être observé. Ceci n'est pas un signe de détérioration.

Avant administration, le contenu de la seringue doit être inspecté visuellement, avant et après agitation, pour détecter la présence éventuelle de toute particule étrangère et/ou altération de l'aspect physique.

Si l'un ou l'autre cas est observé, jetez le vaccin.

Le vaccin doit être bien agité avant utilisation.

Instructions pour l'administration du vaccin présenté en seringue préremplie


1.  En tenant le corps de la seringue d'une main (en évitant de tenir le piston), dévisser l'embout protecteur de la seringue en le tournant dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.

2.  Pour fixer l'aiguille sur la seringue, visser l'aiguille dans le sens des aiguilles d'une montre sur la seringue jusqu'à sentir un blocage.

3.  Enlever le protège aiguille,

ce qui à l'occasion peut être un peu difficile.


4.       Administrer le vaccin.

Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.

 

0,5 ml de suspension en seringue préremplie (verre de type I) avec un bouchon piston (caoutchouc butyle) avec aiguille.

Boîte de 1 seringue préremplie avec 1 aiguille.