Navigation

Cefacidal 1 g, lyophilisat et solution pour préparation injectable (iv ou im), boîte de 1 flacon de poudre + ampoule de solvant de 5 ml

Cefacidal est un médicament mis à disposition dans le milieu hospitalier sous forme de lyophilisat et solution pour préparation injectable (iv ou im) à base de Céfazoline (1 g/5 mL).
Mis en vente le 29/11/1982 par BRISTOL MYERS SQUIBB et retiré du marché le 28/09/2015. Médicament pris en charge par les collectivités et rétrocédable par les pharmacies hospitalières par prolongation des conditions d'inscription.

 

À propos

    Principes actifs

  • Poudre :
  • Céfazoline

    Excipients

  • Solvant :
  • Eau pour préparations injectables

    Classification ATC

    • anti-infectieux generaux à usage systémique

      • antibactériens à usage systémique

        • autres bétalactamines

          • céphalosporines de première génération

            • céfazoline

    Statut

    Ce médicament a été autorisé sur le marché entre le 29/11/1982 et le 28/09/2015.

 

Indications : pourquoi le prendre?

Indications d’utilisation
  • Infection bronchopulmonaire
  • Infection ORL
  • Infection stomatologique
  • Infection septicémique
  • Infection endocarditique
  • Infection génitale et urinaire
  • Infection cutanée
  • Infection séreuse
  • Infection osseuse
  • Infection articulaire
  • Infection post-opératoire

Indications thérapeutiques

Elles procèdent de l'activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de la céfazoline. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu le médicament et de sa place dans l'éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
Elles sont limitées aux infections dues aux germes définis ci-dessus comme sensibles, notamment dans leurs manifestations :
- bronchopulmonaires,
- ORL et stomatologiques,
- septicémiques,
- endocarditiques,
- génitales et urinaires,
- cutanées,
- séreuses,
- osseuses et articulaires.
En raison de la faible diffusion de la céfazoline dans le liquide céphalorachidien, cet antibiotique n'est pas indiqué dans le traitement des méningites même à germes sensibles.
Prophylaxie des infections post-opératoires en :
- neurochirurgie (crâniotomie, dérivation du LCR),
- chirurgie cardiaque,
- chirurgie thoracique non cardiaque,
- chirurgie vasculaire,
- chirurgie gastroduodénale,
- chirurgie biliaire,
- césarienne,
- hystérectomie par voie abdominale et vaginale,
- chirurgie de la tête et du cou avec ouverture du tractus oropharyngé,
- chirurgie orthopédique avec pose de matériel.
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.

 

Contre indications : pourquoi ne pas le prendre ?

CONTRE-INDIQUE :
Ce médicament ne doit jamais être utilisé en cas :
d'allergie aux antibiotiques du groupe des céphalosporines.
DECONSEILLE :
La sécurité d'emploi de ce produit chez les prématurés et les nourrissons de moins d'un mois n'ayant pas été établie, il n'est pas recommandé d'utiliser la céfazoline chez ces patients.

 

Posologie et mode d'administration

Posologie usuelle :
- Adultes : 0,50 g à 1 g toutes les 8 à 12 heures.
Cette posologie peut être augmentée en fonction de la sévérité de l'infection.
- Enfants et nourrissons de plus d'un mois (pour la voie IV) et de plus de 30 mois (pour la voie IM) :
25 à 50 mg/kg et par 24 heures.
Cette posologie peut être augmentée en fonction de la sévérité de l'infection.
NB : la sécurité d'emploi de ce produit chez les prématurés et les nourrissons de moins d'un mois n'ayant pas été établie, il n'est pas recommandé d'utiliser la céfazoline chez ces patients.
- Insuffisants rénaux :
En cas d'insuffisance rénale, la posologie est adaptée en fonction de la clairance de la créatinine ou de la créatininémie (voir ci-dessous).
POSOLOGIE CHEZ L'INSUFFISANT RENAL :
- Infection sévère ou très sévère :
. Clairance de la créatinine 50 à 20 ml/mn : Dose de charge 500 mg. Dose d'entretien 250 mg par jour toutes les 6 h ou 500 mg toutes les 12 h.
. Clairance de la créatinine 20 à 10 ml/mn : Dose de charge 500 mg. Dose d'entretien 250 mg toutes les 12 h ou 500 mg toutes les 24 h.
. Clairance de la créatinine 10 à 5 ml/mn : Dose de charge 500 mg. Dose d'entretien 250 mg toutes les 24-36 h ou 500 mg toutes les 48-72 h.
. Clairance de la créatinine < 5 ml/mn sujets hémodialysés : Dose de charge 500 mg voie IV. Dose d'entretien 500 mg toutes les 72 heures.
- Infection légère ou peu sévère :
. Clairance de la créatinine 50 à 20 ml/mn : Dose de charge 500 mg. Dose d'entretien 125 à 250 mg toutes les 12 h.
. Clairance de la créatinine 20 à 10 ml/mn : Dose de charge 500 mg. Dose d'entretien 125 à 250 mg toutes les 24 h.
. Clairance de la créatinine 10 à 5 ml/min : Dose de charge 500 mg. Dose d'entretien 75 à 125 mg toutes les 24 h.
. Clairance de la créatinine < 5 ml/mn sujets hémodialysés : Dose de charge de 500 mg voie IV. Dose d'entretien 50 à 75 mg toutes les 72 h.
Prophylaxie des infections post-opératoires en chirurgie : l'antibioprophylaxie doit être de courte durée, le plus souvent limitée à la période per-opératoire, 24 heures parfois, mais jamais plus de 48 heures.
- 2 g IV à l'induction anesthésique,
- puis réinjection de 1 g toutes les 4 heures pendant la durée de l'intervention.
En cas d'administration au-delà de la période per-opératoire une réinjection de 1 g toutes les 8 heures doit être effectuée.
En chirurgie cardiaque avec circulation extracorporelle (CEC), une injection supplémentaire de 1 g doit être réalisée après branchement de la CEC.
Dans les césariennes, l'injection doit s'effectuer après clampage du cordon.
Mode d'administration :
La céfazoline peut s'administrer par voie IM profonde ou IV.
- Administration IM : Dissoudre la poudre à l'aide du solvant qui l'accompagne et injecter en IM profonde. La solution reconstituée est stable pendant 24 heures à la température ambiante. La solution, une fois reconstituée, peut avoir une coloration jaune qui est normale.
- Administration IV (à l'usage exclusif des hôpitaux et collectivités) : la céfazoline peut s'administrer soit en injection directe, soit en perfusion continue ou discontinue. Ne pas injecter par voie IV le solvant lidocaïne destiné à la voie IM.
Reconstituer la solution primaire en diluant la poudre dans 2 à 3 ml de solvant.
. Perfusion IV discontinue :
Diluer la solution primaire de céfazoline dans 50 à 100 ml d'eau pour préparations injectables ou dans l'une des solutions IV suivantes :
    . solution de chlorure de sodium à 0,9 pour cent ;
    . solution de ringer-lactate glucosée à 5 pour cent ;
    . solution de glucose à 5 ou à 10 pour cent ;
    . solution de Ringer ;
    . solution de glucose à 5 pour cent et de chlorure de sodium à 0,9 pour cent (l'emploi d'une solution glucosée à 5% et chlorurée sodique à 0,45% ou à 0,2% est également possible),
    . solution de Ringer-lactate ;
    . solution de sucre inverti à 5 ou 10%.
Dissoute dans ces solutés, la céfazoline est stable 24 h à température ambiante et 96 h au réfrigérateur.
. Injection IV directe :
Diluer la solution primaire de céfazoline dans 5 à 10 ml d'eau pour préparations injectables et injecter lentement en trois à cinq minutes, soit directement dans la veine, soit dans la tubulure d'une perfusion.

 

Mises en garde et précautions d'emploi

MISES EN GARDE :
- La survenue de toute manifestation allergique impose l'arrêt du traitement.
- La prescription de céphalosporines nécessite un interrogatoire préalable.
- L'allergie aux pénicillines étant croisée avec celle aux céphalosporines dans 5 à 10% des cas :
. l'utilisation des céphalosporines doit être extrêmement prudente chez les patients pénicillinosensibles ; une surveillance médicale stricte est nécessaire dès la première administration ;
. l'emploi des céphalosporines est à proscrire formellement chez le sujet ayant des antécédents d'allergie de type immédiat aux céphalosporines.
En cas de doute, la présence du médecin auprès du patient est indispensable à la première administration afin de traiter l'accident anaphylactique possible.
- Les réactions d'hypersensibilité (anaphylaxie) observées avec ces deux types de substances peuvent être graves et parfois fatales.
- Des cas de colites pseudomembraneuses ont été rapportés avec les antibiotiques à large spectre. Ce diagnostic doit être évoqué chez des patients ayant une diarrhée persistante pendant ou après un traitement antibiotique. Les diarrhées sont réversibles à l'arrêt du traitement mais les formes sévères imposent un traitement spécifique.
- Pour les formes IM renfermant de la lidocaïne, ne pas injecter par voie IV.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- L'attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un solvant pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
- Il est prudent de surveiller la fonction rénale au cours du traitement en cas d'association de la céfazoline avec des antibiotiques potentiellement néphrotoxiques (aminosides en particulier) ou des diurétiques type furosémide ou acide étacrynique.
- En cas d'insuffisance rénale, adapter la posologie en fonction de la clairance de la créatinine ou de la créatininémie (voir mode d'emploi et posologie).
- La teneur en sodium de la céfazoline est de 2,2 mol/g (48,3 mg/g).
- Allaitement : le passage dans le lait maternel est faible (< 5%), et les quantités ingérées très inférieures aux doses thérapeutiques. En conséquence, l'allaitement est possible en cas de prise de ce médicament. Toutefois, interrompre l'allaitement (ou le médicament) en cas de survenue de diarrhée, de candidose ou d'éruption cutanée.

 

Grossesse et allaitement

Grossesse :
Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
En clinique, l'analyse d'un nombre élevé de grossesses exposées n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour.
Toutefois, seules des études épidémiologiques permettraient de vérifier l'absence de risque.
En conséquence, la céfazoline peut être prescrite pendant la grossesse si besoin.
Allaitement :
Le passage dans le lait maternel est faible (< 5%), et les quantités ingérées très inférieures aux doses thérapeutiques.
En conséquence, l'allaitement est possible en cas de prise de ce médicament.
Toutefois, interrompre l'allaitement (ou le médicament) en cas de survenue de diarrhée, de candidose ou d'éruption cutanée.

 

Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions

Il est prudent de surveiller la fonction rénale en cours de traitement en cas d'association de la céfazoline avec des antibiotiques potentiellement néphrotoxiques (aminosides en particulier) ou des diurétiques type furosémide ou acide étacrynique.
PROBLEMES PARTICULIERS DU DESEQUILIBRE DE L'INR :
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.
EXAMENS PARACLINIQUES :
- Une positivation du test de Coombs a été obtenue en cours de traitement par des céphalosporines. Ceci pourrait également survenir chez les sujets traités par la céfazoline.
- Il peut se produire une réaction faussement positive lors de la recherche de glucose dans les urines avec des substances réductrices, mais non lorsqu'on utilise des méthodes spécifiques à la glucose oxydase.

 

Effets indésirables

- Manifestations allergiques : éruptions cutanées, fièvre.
- Manifestations digestives : diarrhées, nausées, anorexie, vomissements, candidose buccale.
- Manifestations hématologiques : éosinophilie, leucopénie, thrombocytémie réversible.
- Manifestations hépatiques : élévation transitoire des transaminases (ASAT, ALAT) et des phosphatases alcalines.
- Néphrotoxicité : des altérations de la fonction rénale ont été observées avec des antibiotiques du même groupe, surtout en cas de traitement associé avec les aminosides et les diurétiques puissants.
- Veinites après injection intraveineuse.
- Douleurs au point d'injection intramusculaire avec induration possible.
- Des cas exceptionnels de colite pseudomembraneuse ont été rapportés.

 

Surdosage

- Douleurs, inflammation et phlébite au point d'injection sont les signes d'un surdosage en céfazoline. Des vertiges, paresthésies et céphalées ont été rapportés suite à l'administration de fortes posologies de céphalosporines. Des encéphalopathies métaboliques (troubles de la conscience, mouvements anormaux, crises convulsives) peuvent survenir, en particulier chez l'insuffisant rénal.
- Un surdosage accidentel en céfazoline impose l'arrêt du médicament et un traitement par anticonvulsivant en cas de survenue de crises convulsives.
En cas de surdosage sévère, en particulier chez l'insuffisant rénal, l'hémodialyse associée à l'hémoperfusion peut être envisagée en dernier recours bien que son efficacité n'ait pas été prouvée.

 

Propriétés pharmacologiques

ANTIBIOTIQUES ANTIBACTERIENS de la famille des bêtalactamines du groupe des céphalosporines injectables de 1ère génération.
Code ATC : J01DA04 (J : Anti-infectieux).
SPECTRE D'ACTIVITE ANTIBACTERIENNE :
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
S < = 8 mg/L et R > 32 mg/L.
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue (> 10%) (valeurs extrêmes) pour une espèce bactérienne, elle est indiquée ci-dessous :
ESPECES SENSIBLES :
- Aérobies à Gram positif :
. Staphylococcus méti-S.
. Streptococcus.
. Streptococcus pneumoniae
(30-70%).
- Aérobies à Gram négatif :
. Branhamella catarrhalis.
. Citrobacter koseri
(0-20%).
. Escherichia coli (20-30%).
. Haemophilus influenzae.
. Klebsiella
(0-30%).
. Neisseria gonorrhoeae.
. Proteus mirabilis
(10-20%).
- Anaérobies :
. Clostridium perfringens (10-20%).
. Fusobacterium.
. Peptostreptococcus.
. Prevotella (30-70%).
. Propionibacterium acnes.
. Veillonella.
ESPECES MODEREMENT SENSIBLES (in vitro de sensibilité intermédiaire) :
Anaérobies :
Eubacterium.
ESPECES RESISTANTES :
- Aérobies à Gram positif :
. Entérocoques.
. Listeria monocytogenes.:
. Staphylococcus méti-R*.
- Aérobies à Gram négatif :
. Acinetobacter baumannii.
. Bordetella.
. Campylobacter.
. Citrobacter freundii.
. Enterobacter.
. Legionella.
. Morganella morganii.
. Proteus vulgaris.
. Providencia.
. Pseudomonas.
. Serratia.
. Vibrio.
. Yersinia enterocolitica
.
- Anaérobies :
.
Bacteroïdes.
. Clostridium difficile
.
- Autres :
.
Chlamydia.
.
Mycobactéries.
.
Mycoplasma.
. Rickettsia
.
*La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50% de l'ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.

- La céfazoline est utilisable par voie injectable IM ou IV.
- L'administration en perfusion IV continue (à des volontaires bien portants), d'abord de doses de céfazoline de 3,5 mg/kg pendant une heure (soit environ 250 mg), puis de doses de 1,5 mg/kg au cours des deux heures suivantes (soit environ 100 mg), a permis d'obtenir des taux sériques équilibrés d'environ 28 µg/ml au cours de la troisième heure.
CONCENTRATIONS SERIQUES APRES ADMINISTRATION IV D'UNE DOSE DE 1 G :
5 mn (188,4 µg/ml) / 15 mn (135,8 µg/ml) / 30 mn (106,8 µg/ml) / 1 h (73,7 µg/ml) / 2 h (45,6 µg/ml) / 4 h (16,5 µg/ml).
CONCENTRATION SERIQUES APRES ADMINISTRATION IM D'UNE DOSE DE 500 MG ET 1 G (µg/ml) :
1/2 h / 1 h / 2 h / 4 h / 6 h / 8 h.
. 500 mg IM : 36,2 / 36,8 / 37,9 / 15,5 / 6,3 / 3,0.
. 1 g IM : 60,1 / 63,8 / 54,3 / 29,3 / 13,2 / 7,1.
- La demi-vie d'élimination est d'environ 100 minutes chez les malades aux fonctions rénales normales.
- Les taux thérapeutiques sont atteints dans le liquide pleural, le liquide articulaire et le liquide ascitique.
- En l'absence d'obstruction des voies biliaires, les concentrations de céfazoline dans le tissu de la vésicule biliaire et dans la bile sont élevées et nettement supérieures aux taux sériques. Par contre, lorsqu'il y a obstruction, les concentrations d'antibiotique dans la bile sont considérablement plus basses que les taux sériques.
- La céfazoline traverse rapidement la barrière placentaire en direction du sang du cordon et du liquide amniotique. Dans le lait maternel, les taux de céfazoline sont très faibles.
Son taux de fixation protéique est de 85 à 90 pour cent dans les conditions physiologiques.
La diffusion de la céfazoline dans le LCR est faible.
BIOTRANSFORMATION :
La céfazoline n'est pas métabolisée.
EXCRETION :
- La céfazoline est éliminée sous forme active, essentiellement par l'urine et, très accessoirement, par la bile.
- Après administration IM de 500 mg, on retrouve au bout de 6 heures entre 56 et 89% de la dose administrée ; ces chiffres sont de 80 à presque 100% au bout de 24 heures.
- Après administration de doses de 500 mg et 1 g par voie IM, les chiffres fournis pour la fraction urinaire 0-6 h sont respectivement de 1000/2000 µg/ml et 2000/4000 µg/ml.

 

Durée et précautions particulières de conservation

Durée de conservation :
30 mois.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à l'abri de la chaleur.

Flacon (verre) de 1 g et ampoule (verre) de 5 ml ; boîte de 1.