Cisatracurium kabi 5 mg/ml, solution injectable/pour perfusion, boîte de 1 flacon de 30 ml
- À propos
- Indications: pourquoi le prendre?
- Contre indications: pourquoi ne pas le prendre?
- Posologie et mode d'administration
- Mises en garde et précautions d'emploi
- Grossesse et allaitement
- Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
- Effets indésirables
- Surdosage
- Effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
- Propriétés pharmacologiques
- Durée et précautions particulières de conservation
Cisatracurium kabi est un médicament générique mis à disposition dans le milieu hospitalier sous forme de solution injectable iv ou pour perfusion à base de Cisatracurium (5 mg/mL).
Mis en vente le 16/07/2013 par FRESENIUS KABI FRANCE. Médicament pris en charge par les collectivités et rétrocédable par les pharmacies hospitalières par prolongation des conditions d'inscription.
À propos
- Bésilate de cisatracurium
Principes actifs
- Sulfonique benzène acide
- Eau pour préparations injectables
Excipients
muscle et squelette
myorelaxants
myorelaxants a action périphérique
autres ammoniums quaternaires
cisatracurium
Classification ATC
Statut
Ce médicament est autorisé sur le marché depuis le 16/07/2013.
Indications : pourquoi le prendre?
Indications d’utilisation- Relâchement musculaire au cours de l'anesthésie générale
- Relâchement musculaire en réanimation
Indications thérapeutiques
Le cisatracurium est indiqué chez l'adulte et l'enfant à partir d'un mois au cours des interventions chirurgicales et autres procédures ainsi qu'en unité de soins intensifs. Il peut être utilisé comme adjuvant de l'anesthésie générale ou de la sédation en unité de soins intensifs (USI) afin de relaxer les muscles squelettiques et faciliter l'intubation endotrachéale et la ventilation mécanique.
Contre indications : pourquoi ne pas le prendre ?
Hypersensibilité au cisatracurium, à l'atracurium ou à l'acide benzène sulfonique (acide bésilique).
Posologie et mode d'administration
Solution limpide incolore à jaune pâle ou jaune verdâtre.
Mises en garde et précautions d'emploi
Précautions spécifiques au produit
Le cisatracurium paralyse les muscles respiratoires tout autant que les autres muscles striés, mais n'a pas d'effet connu sur la conscience ou le seuil nociceptif.
Lors de l'administration de cisatracurium une attention particulière sera portée aux patients qui ont des antécédents d'hypersensibilité à d'autres curares, car un taux élevé de réactions d'hypersensibilité croisée (supérieur à 50 %) entre les curares a été rapporté.
Le cisatracurium ne possède pas de propriétés vagolytiques ou ganglioplégiques significatives. En conséquence, il n'exerce aucun effet clinique significatif sur la fréquence cardiaque et ne neutralise pas la bradycardie induite par de nombreux anesthésiques ou par stimulation vagale au cours d'une intervention chirurgicale.
La sensibilité à des curares non dépolarisants a été fortement accrue chez des patients présentant une myasthénie ou d'autres formes d'affections neuromusculaires. Une dose initiale n'excédant pas 0,02 mg/kg est recommandée chez ces patients.
Des anomalies sévères de l'équilibre acide-base et/ou de l'ionogramme peuvent augmenter ou réduire la sensibilité aux curares.
Il n'existe aucune information sur l'utilisation du cisatracurium chez les nouveau-nés âgés de moins d'un mois en raison de l'absence d'étude dans cette population de patients.
Le cisatracurium n'a pas été étudié chez des patients ayant des antécédents d'hyperthermie maligne. Des études chez le porc sensible à l'hyperthermie maligne ont indiqué que le cisatracurium n'avait pas déclenché ce syndrome.
Il n'y a pas eu d'essai du cisatracurium chez les patients devant subir une intervention chirurgicale sous hypothermie induite (25°C à 28°C). Comme pour les autres curares, on peut s'attendre à ce que le débit de perfusion nécessaire pour entretenir un relâchement musculaire adéquat dans ces conditions soit significativement réduit.
Le cisatracurium n'a pas été étudié chez les brûlés; cependant, comme pour tous les curares non dépolarisants, si le cisatracurium doit être administré à ces patients, il faut envisager la possibilité de devoir augmenter la posologie et celle d'une durée d'action plus courte.
CISATRACURIUM KABI est une solution hypotonique et ne doit pas être administré dans la tubulure d'une transfusion sanguine.
Patients en unité de soins intensifs (USI)
L'administration de laudanosine, métabolite du cisatracurium et de l'atracurium, à fortes doses chez des animaux de laboratoire, a été accompagnée d'hypotension transitoire et, chez quelques espèces, d'effets à type d'excitation cérébrale. Chez les espèces animales les plus sensibles, ces effets sont survenus pour des concentrations plasmatiques en laudanosine identiques à celles observées chez des patients en USI après perfusion prolongée d'atracurium.
Du fait d'un débit de perfusion recommandé plus faible avec le cisatracurium qu'avec l'atracurium, les concentrations plasmatiques de laudanosine sont trois fois plus faibles après administration de cisatracurium.
De rares cas de convulsions ont été rapportés chez des patients en USI qui avaient reçu l'atracurium et d'autres agents. Ces patients présentaient habituellement une ou plusieurs affections médicales prédisposant aux convulsions (par exemple traumatisme crânien, encéphalopathie hypoxique, oedème cérébral, encéphalite virale, urémie). Aucune relation de causalité avec la laudanosine n'a été établie.
Grossesse et allaitement
Grossesse
Il n'existe pas de données suffisantes sur l'utilisation du cisatracurium chez la femme enceinte. Les études chez l'animal sont insuffisantes quant aux effets sur la gestation, le développement embryonnaire ou foetal, l'accouchement ou le développement postnatal (voir rubrique Données de sécurité précliniques.). Le risque potentiel n'est pas connu chez l'homme.
CISATRACURIUM KABI ne doit pas être utilisé durant la grossesse.
Allaitement
On ne sait pas si le cisatracurium ou ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel.
Un risque pour le nourrisson allaité ne peut être exclu. En raison de la courte demi-vie, une influence sur le nourrisson allaité n'est pas attendue si la mère reprend l'allaitement quand les effets de la substance ont disparu. A titre de précaution, l'allaitement doit être interrompu pendant le traitement par CISATRACURIUM KABI et pendant au moins douze heures après son arrêt.
Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
Il a été montré que de nombreuses substances influencent l'importance et/ou la durée de l'action des curares non dépolarisants, notamment:
Potentialisation de l'effet curarisant :
· par les agents anesthésiants tels que l'enflurane, l'isoflurane, l'halothane (voir rubrique Posologie et mode d'administration) et la kétamine,
· par d'autres curares non dépolarisants,
· par d'autres médicaments tels que :
o les antibiotiques (dont les aminoglycosides, les polymyxines, la spectinomycine, les tétracyclines, la lincomycine et la clindamycine),
o les anti-arythmiques (dont le propranolol, les inhibiteurs calciques, la lidocaïne, le procaïnamide et la quinidine),
o les diurétiques (dont le furosémide, et probablement les thiazidiques, le mannitol et l'acétazolamide),
o les sels de magnésium et de lithium,
o les ganglioplégiques (trimétaphan, hexaméthonium).
L'effet diminue après administration chronique précédente de phénytoïne ou de carbamazépine.
L'administration précédente de suxaméthonium n'exerce aucun effet sur la durée du bloc neuromusculaire obtenu après un bolus de cisatracurium ou sur le débit de perfusion nécessaire.
L'administration de suxaméthonium pour prolonger les effets des curares non dépolarisants peut provoquer un bloc prolongé et complexe, difficile à antagoniser avec les anticholinestérasiques.
Dans de rares cas, certains médicaments peuvent aggraver ou révéler une myasthénie latente, ou même induire un syndrome myasthénique, pouvant accroître ainsi la sensibilité aux curares non dépolarisants. Ces agents comprennent divers antibiotiques, des bêtabloquants (propranolol, oxprénolol), des antiarythmiques (procaïnamide, quinidine), des antirhumatismaux (chloroquine, D-pénicillamine), le trimétaphan, la chlorpromazine, les corticoïdes, la phénytoïne et le lithium.
Le traitement par des anti-cholinestérases utilisés habituellement dans le traitement de la maladie d'Alzheimer comme le donézépil, peut diminuer la durée et l'intensité du bloc neuromusculaire induit par le cisatracurium.
Effets indésirables
La fréquence des effets indésirables est classée selon les catégories suivantes :
· Très fréquent : ≥ 1/10
· Fréquent : ≥ 1/100 à < 1/10
· Peu fréquent : ≥ 1/1 000 à < 1/100
· Rare : ≥ 1/10 000 à < 1/1 000
· Très rare : <1/10 000
· Fréquence indéterminée : ne peut être estimée sur la base des données disponibles.
Affections du système immunitaire
Très rare : réactions anaphylactiques.
Des réactions anaphylactiques de divers degrés de sévérité ont été observées après l'administration d'agents curarisants. Des réactions anaphylactiques sévères ont été rapportées dans de très rares cas chez des patients ayant reçu le cisatracurium en association à un ou plusieurs anesthésiques.
Affections cardiaques
Fréquent : bradycardie.
Affections vasculaires
Fréquent : hypotension.
Peu fréquent : rougeur cutanée.
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Peu fréquent : bronchospasme.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Peu fréquent : éruption cutanée.
Affections musculo-squelettiques et systémiques
Très rare : myopathie, faiblesse musculaire.
Des cas de faiblesse musculaire et/ou de myopathie ont été rapportés à la suite de l'administration prolongée de myorelaxants chez des patients en état grave en USI. La plupart de ces patients recevaient une corticothérapie concomitante. Ces événements ont été rarement rapportés en association au cisatracurium, et aucune relation de causalité n'a été établie.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr.
Surdosage
Symptômes et signes
Les principaux signes de surdosage attendus avec le cisatracurium sont une paralysie musculaire prolongée et ses conséquences.
Conduite à tenir
Il est essentiel de maintenir la ventilation pulmonaire et l'oxygénation artérielle jusqu'à l'observation d'une récupération spontanée adéquate. La sédation totale est nécessaire, puisque la vigilance n'est pas modifiée par le cisatracurium. La récupération peut être accélérée par l'administration d'anticholinestérasiques dès l'observation des premiers signes de récupération spontanée.
Effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
CISATRACURIUM KABI, comme tous les autres anesthésiques, peut fortement nuire à l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines. Le patient ne doit pas conduire de véhicules ni utiliser de machines à la suite d'une anesthésie par le cisatracurium.
Le délai avant la reprise de ces activités doit être décidé au cas par cas par le médecin.
Propriétés pharmacologiques
Groupe pharmacothérapeutique : myorelaxants, agents d'action périphérique ; autre composé ammonium quaternaire, code ATC : M03AC11
Le cisatracurium est un relaxant non dépolarisant des muscles squelettiques de durée d'action intermédiaire de la famille des benzylisoquinolines.
Les études cliniques chez l'homme ont montré que l'administration de cisatracurium n'était pas associée à une libération dose-dépendante d'histamine, même à des doses allant jusqu'à 8 fois la DE95.
Mécanisme d'action
Le cisatracurium se lie aux récepteurs cholinergiques sur la plaque motrice afin d'antagoniser l'action de l'acétylcholine, ce qui induit un bloc compétitif de la transmission neuromusculaire. Cette action est aisément antagonisée par des anticholinestérasiques telle que la néostigmine ou l'édrophonium.
La DE95 du cisatracurium (dose requise pour l'obtention d'une suppression de 95 % de la réponse du muscle adducteur du pouce à la stimulation du nerf cubital) a été estimée à 0,05 mg/kg de poids corporel au cours d'anesthésies au moyen d'un opiacé (thiopental/fentanyl/midazolam).
La DE95 du cisatracurium chez l'enfant au cours d'une anesthésie à l'halothane est de 0,04 mg/kg.
Le cisatracurium est dégradé dans l'organisme au pH et à température physiologiques par la réaction d'Hofmann (processus chimique), pour former de la laudanosine et un métabolite l'acrylate monoquaternaire. L'acrylate monoquaternaire est hydrolysé par des estérases plasmatiques non spécifiques pour former un métabolite, l'alcool monoquaternaire. L'élimination du cisatracurium est en majorité indépendante des organes habituels d'élimination, mais le foie et les reins interviennent en premier dans l'élimination de ses métabolites.
Pharmacocinétique chez l'adulte
La pharmacocinétique du cisatracurium, en analyse non compartimentale, est indépendante de la dose, dans l'intervalle de doses étudiées (0,1 à 0,2 mg/kg, c'est à dire 2 à 4 fois la DE95). L'analyse pharmacocinétique de population confirme et élargit ces résultats jusqu'à 0,4 mg/kg (8 fois la DE95). Les paramètres pharmacocinétiques, après administration de doses de 0,1 et 0,2 mg/kg de cisatracurium à des patients adultes sains opérés, sont résumés dans le tableau ci-dessous :
Paramètre | Intervalle des valeurs moyennes |
Clairance | 4,7 à 5,7 ml/min/kg |
Volume de distribution à l'état d'équilibre | 121 à 161 ml/kg |
Demi-vie d'élimination | 22 à 29 min |
Pharmacocinétique chez le patient âgé
Il n'y a aucune différence cliniquement significative de pharmacocinétique du cisatracurium entre le patient âgé et l'adulte sain. Le profil de récupération est également inchangé.
Pharmacocinétique chez l'insuffisants rénal ou hépatique
Les paramètres pharmacocinétiques du cisatracurium n'ont pas différé de façon cliniquement significative entre des patients en insuffisance rénale ou hépatique, sévère et des adultes sains. Leur profil de récupération est également inchangé.
Pharmacocinétique au cours d'une perfusion
Les paramètres pharmacocinétiques du cisatracurium ont été similaires après perfusion et injection unique en bolus. Le profil de récupération à la suite d'une perfusion de cisatracurium dépend de la durée de la perfusion et est similaire à celui observé après une injection unique en bolus.
Pharmacocinétique chez les patients en unité de soins intensifs (USI)
La pharmacocinétique du cisatracurium chez les patients en USI sous perfusion prolongée est similaire à celle des adultes sains opérés, sous perfusion, ou après injection en bolus unique. Le profil de récupération après perfusion de le cisatracurium chez les patients en USI est indépendant de la durée de la perfusion.
Les concentrations en métabolites sont plus élevées chez les patients en USI ayant des anomalies des fonctions rénale ou hépatique (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). Ces métabolites n'ont pas d'activité curarisante.
Durée et précautions particulières de conservation
Durée de conservation :
Avant ouverture : 2 ans.
Durée de conservation après première ouverture : le médicament doit être utilisé immédiatement après l'ouverture du flacon.
Durée de conservation après dilution :
La stabilité physico-chimique de la solution diluée a été démontrée pendant 24 heures à 25°C.
Toutefois, d'un point de vue microbiologique, la solution diluée doit être utilisée immédiatement.
En cas d'utilisation non immédiate, les durées et conditions de conservation après dilution et avant utilisation relèvent de la seule responsabilité de l'utilisateur et ne devraient pas dépasser 24 heures à une température comprise entre 2°C et 8°C.
Précautions particulières de conservation :A conserver au réfrigérateur (entre 2°C et 8°C).
Ne pas congeler.
Conserver les flacons dans l'emballage extérieur à l'abri de la lumière.
Pour les conditions de conservation après ouverture et après dilution, se reporter à la rubrique Durée de conservation.
Ce médicament ne doit pas être mélangé à d'autres médicaments à l'exception de ceux mentionnés dans la rubrique Instructions pour l'utilisation, la manipulation et l'élimination :
La dilution de CISATRACURIUM KABI est physiquement et chimiquement stable pendant 24 heures à 25°C à des concentrations comprises entre 0,1 et 2 mg/ml dans les solutés de perfusion suivants: solution de chlorure de sodium à 9 mg/ml (0,9%), solution de glucose à 50 mg/ml (5%), solution chlorure de sodium à 9 mg/ml (0,9%) et de glucose à 50 mg/ml (5%).
Le cisatracurium est compatible avec les produits suivants qui sont utilisés couramment en péri-opératoire (administration continue à travers une tubulure en Y) : chlorhydrate d'alfentanil, dropéridol, citrate de fentanyl, chlorhydrate de midazolam, citrate de sufentanil.
Lorsque d'autres substances sont administrées dans la même tubulure ou le même cathéter que CISATRACURIUM KABI, il est recommandé de rincer chaque substance avec un volume adéquat de solution intraveineuse adaptée, par exemple une solution de chlorure de sodium pour perfusion intraveineuse (0,9 pour cent poids/volume).
Le cisatracurium est uniquement stable en solution acide et ne doit donc pas être mélangé dans la même seringue ou la même ligne d'injection avec des solutions alcalines telles que le thiopental sodique.
Il n'est pas compatible avec le kétorolac, le trométamol ni avec le propofol sous forme d'émulsion injectable.
Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
La dilution de CISATRACURIUM KABI est physiquement et chimiquement stable pendant 24 heures à 25°C à des concentrations comprises entre 0,1 et 2 mg/ml dans les solutés de perfusion suivants:
· solution de chlorure de sodium à 9 mg/ml (0,9%),
· solution de glucose à 50 mg/ml (5%),
· solution chlorure de sodium à 9 mg/ml (0,9%) et de glucose à 50 mg/ml (5%).
Le cisatracurium est compatible avec les produits suivants qui sont utilisés couramment en péri-opératoire (administration continue à travers une tubulure en Y) :
· chlorhydrate d'alfentanil,
· dropéridol,
· citrate de fentanyl,
· chlorhydrate de midazolam,
· citrate de sufentanil.
Lorsque d'autres substances sont administrées dans la même tubulure ou le même cathéter que CISATRACURIUM KABI, il est recommandé de rincer chaque substance avec un volume adéquat de solution intraveineuse adaptée, par exemple une solution de chlorure de sodium pour perfusion intraveineuse (0,9 pour cent poids/volume).
Flacon de 30 ml en verre de type I fermé par un bouchon de caoutchouc d'halobutyl de type I et une capsule en aluminium avec un opercule en aluminium ou en plastique. Boîte de 1 flacon.