Survitine, capsule molle, flacon de 30
- À propos
- Indications: pourquoi le prendre?
- Contre indications: pourquoi ne pas le prendre?
- Posologie et mode d'administration
- Mises en garde et précautions d'emploi
- Grossesse et allaitement
- Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
- Effets indésirables
- Surdosage
- Effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
- Propriétés pharmacologiques
- Durée et précautions particulières de conservation
Survitine est un médicament sous forme de capsule molle (30).
Autorisation de mise sur le marché le 27/03/1973 par TRADIPHAR et retiré du marché le 02/05/2011. Ce médicament n’est pas remboursé par la sécurité sociale.
À propos
- Vitamine A
- Cholécalciférol
- Thiamine
- Riboflavine (E101)
- Pyridoxine
- Cyanocobalamine
- Dexpanthénol
- Nicotinamide
- Acide ascorbique (E300)
- Alpha-tocophérol (E307)
- Biotine
- Sulfate de manganèse
- Sulfate de cuivre
- Oxyde de zinc
- Cobalt sulfate
- Molybdate de sodium
Principes actifs
- Ethylvanilline
- Paraméthoxyacétophénone
- Lécithine de soja
- Cire d'abeille jaune
- Huile de soja
- Huile végétale
- Huile d'arachide
- Tunique de la capsule :
- Titane dioxyde (E171)
- Rouge cochenille A (E124)
- Parahydroxybenzoate d'éthyle sodé (E215)
- Parahydroxybenzoate de propyle sodé (E217)
- Gélatine
- Glycérol (E422)
Excipients
voies digestives et métabolisme
vitamines
polyvitamines en association
polyvitamines avec éléments minéraux
polyvitamines et autres éléments minéraux, associations incluses
Classification ATC
Statut
Ce médicament a été autorisé sur le marché entre le 27/03/1973 et le 02/05/2011.
Indications : pourquoi le prendre?
Indications d’utilisation- Régime alimentaire carencé
- Régime alimentaire déséquilibré
Indications thérapeutiques
Prévention ou correction des troubles en rapport avec un régime alimentaire carencé ou déséquilibré chez l'adulte et l'enfant de plus de 12 ans.
Contre indications : pourquoi ne pas le prendre ?
Ce médicament est contre-indiqué en cas de :
- Hypersensibilité à l'un des constituants.
- Troubles de l'absorption des lipides.
- Malabsorption chronique.
- Thérapeutique associée interférant avec l'absorption de la vitamine A.
- Hypercalcémie, hypercalciurie, lithiase calcique.
- en association avec la lévodopa (voir interactions).
Posologie et mode d'administration
RESERVE A L'ADULTE ET A L'ENFANT DE PLUS DE 12 ANS.
Voie orale.
Avaler sans croquer avec un peu d'eau, 1 à 2 capsules par jour.
Capsule rouge.
Mises en garde et précautions d'emploi
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Réservé à l'adulte et à l'enfant de plus de 12 ans.
- Pour éviter tout surdosage, tenir compte des doses totales de vitamine A et vitamine D en cas d'association de plusieurs traitements contenant ces vitamines.
- Du fait de la présence de vitamine B12, prendre garde à ne pas masquer une anémie par déficit en vitamine B12 et d'en retarder le diagnostic.
- En cas d'apport en calcium, un contrôle régulier de la calciurie est indispensable.
Grossesse et allaitement
Grossesse :
La Vitamine A est tératogène chez l'animal sur plusieurs espèces.
Dans l'espèce humaine, des cas de malformations ont été rapportés avec de fortes doses. Toutefois, à ce jour, l'absence d'étude épidémiologique fiable et le faible effectif des notifications isolées empêchent de conclure définitivement sur la réalité de ce risque malformatif.
En conséquence, compte tenu de l'apport alimentaire quotidien, il est recommandé de ne pas dépasser une dose journalière de 5000 UI de Vitamine A apportée par des médicaments.
Allaitement :
A dose élevée, il existe un risque de surdosage chez le nouveau-né.
En conséquence, compte tenu de l'apport alimentaire quotidien, il est recommandé de ne pas dépasser 5000 UI de Vitamine A par jour d'origine médicamenteuse.
Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
Association contre-indiquée (liée à la présence de pyridoxine) :
Lévodopa :
Inhibition de l'activité de la lévodopa lorsqu'elle est utilisée sans inhibiteur de la dopadécarboxylase périphérique.
Eviter tout apport de pyridoxine en l'absence d'inhibiteur de la dopadécarboxylase.
Effets indésirables
Tout effet indésirable est susceptible d'être une manifestation de surdosage et doit entraîner l'arrêt du traitement :
Signes résultant de l'administration de doses excessives de vitamine D ou de ses métabolites :
- signes cliniques :
. céphalées, asthénie, anorexie, amaigrissement, arrêt de la croissance,
. nausées, vomissements,
. polyurie, polydipsie, déshydratation,
. hypertension artérielle,
. lithiase calcique, calcifications tissulaires, en particulier rénales et vasculaires,
. insuffisance rénale.
- signes biologiques : hypercalcémie, hypercalciurie, hyperphosphatémie, hyperphosphaturie.
Signes résultant de l'administration de doses excessives de vitamine A :
. Aigu (doses supérieures à 150000 UI) :
signes cliniques : troubles digestifs, céphalées, hypertension intracrânienne (se manifestant chez le nourrisson par le bombement de la fontanelle), oedème papillaire, troubles psychiatriques, irritabilité, voire convulsions, desquamation généralisée retardée.
. Chronique (risque d'intoxication chronique lors d'un apport prolongé de vitamine A à des doses supraphysiologiques chez un sujet non carencé) :
signes cliniques : hypertension intracrânienne, hyperostose corticale des os longs et soudure précoce épiphysaire. Le diagnostic est généralement porté sur la constatation de gonflements sous-cutanés sensibles ou douloureux au niveau des extrémités des membres. Les radiographies objectivent un épaississement périsoté diaphysaire au niveau du cubitus, du péroné, des clavicules et des côtes.
Conduite à tenir : cesser l'administration de ce médicament, réduire les apports calciques, augmenter la diurèse, boissons abondantes.
Surdosage
Signes résultant de l'administration de doses excessives de vitamine D ou de ses métabolites :
- signes cliniques :
. céphalées, asthénie, anorexie, amaigrissement, arrêt de croissance,
. nausées, vomissements,
. polyurie, polydipsie, déshydratation,
. hypertension artérielle,
. lithiase calcique, calcifications tissulaires, en particulier rénales et vasculaires,
. insuffisance rénale.
- signes biologiques : hypercalcémie, hypercalciurie, hyperphosphatémie, hyperphosphaturie.
Signes résultant de l'administration de doses excessives de vitamine A :
- Aigu (doses supérieures à 150000 UI) :
Signes cliniques : troubles digestifs, céphalées, hypertension intracrânienne (se manifestant chez le nourrisson par le bombement de la fontanelle), oedème papillaire, troubles psychiatriques, irritabilité, voire convulsions, desquamation généralisée retardée.
- Chronique (risque d'intoxication chronique lors d'un apport prolongé de vitamine A à des doses supraphysiologiques chez un sujet non carencé) :
Signes cliniques : hypertension intracrânienne, hyperostose corticale des os longs et soudure précoce épiphysaire. Le diagnostic est généralement porté sur la constatation de gonflements sous-cutanés sensibles ou douloureux au niveau des extrémités des membres. Les radiographies objectivent un épaississement périosté diaphysaire au niveau du cubitus, du péroné, des clavicules et des côtes.
Conduite à tenir : cesser l'administration de ce médicament, réduire les apports calciques, augmenter la diurèse, boissons abondantes.
Propriétés pharmacologiques
ASSOCIATION DE VITAMINES ET D'ELEMENTS MINERAUX.
(A : appareil digestif et métabolisme).
Durée et précautions particulières de conservation
Durée de conservation :
3 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température inférieure à 25°C.
Flacon en verre jaune de type III de 30 capsules molles, fermé par un bouchon en polyéthylène basse densité muni d'un joint en polyéthylène basse densité de type Triseal.