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Isepalline 250 mg/1 ml, solution injectable en ampoule (i.v., i.m.), boîte de 1 ampoule de 1 ml

Isepalline est un médicament mis à disposition dans le milieu hospitalier sous forme de solution injectable (250 mg/1 mL).
Mis en vente le 23/06/1995 par SCHERING-PLOUGH et retiré du marché le 21/03/2008. Médicament pris en charge par les collectivités et rétrocédable par les pharmacies hospitalières par prolongation des conditions d'inscription.

 

À propos

    Principes actifs

  • Isépamicine

    Excipients

  • Sodium citrate (E331)
  • Sodium sulfite (E221)
  • Sodium hydroxyde (E524)
  • Sulfurique acide
  • Eau pour préparations injectables

    Classification ATC

    • anti-infectieux generaux à usage systémique

      • antibactériens à usage systémique

        • aminosides antibactériens

          • autres aminosides

            • isépamicine

    Statut

    Ce médicament a été autorisé sur le marché entre le 23/06/1995 et le 21/03/2008.

 

Indications : pourquoi le prendre?

Indications d’utilisation
  • Infection rénale à bacilles Gram -
  • Infection urologique à bacilles Gram -
  • Infection rénale
  • Infection urologique
  • Infection septicémique
  • Infection respiratoire
  • Infection cutanée
  • Infection intra-abdominale
  • Fièvre du neutropénique

Indications thérapeutiques

Elles procèdent de l'activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de l'isépamicine. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu le médicament et de sa place dans l'éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
Elles sont limitées aux infections à bacilles à Gram négatif définis comme sensibles notamment dans leurs manifestations rénales et urologiques.
L'association d'isépamicine avec un autre antibiotique pourra être justifiée dans certaines infections à germes sensibles en se basant sur les données bactériologiques, en particulier dans leurs manifestations :
- rénales et urologiques,
- septicémiques,
- respiratoires,
- cutanées,
- intra-abdominales,
- ainsi que dans le traitement empirique de la fièvre du neutropénique.
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.

 

Contre indications : pourquoi ne pas le prendre ?

CONTRE-INDIQUE :
Ce médicament ne doit pas être utilisé dans les cas suivants :
- allergie à l'isépamicine ou à un autre antibiotique de la famille des aminosides,
- allergie aux sulfites,
- myasthénie,
- en association avec un autre aminoside lors d'une administration simultanée (voir interactions).
DECONSEILLE :
Ce médicament ne doit généralement pas être utilisé :
- en association avec la toxine botulique (voir interactions),
- en association avec les polymyxines utilisées par voie parentérale,
- au cours de la grossesse : l'utilisation de ce médicament est déconseillée au cours de la grossesse en raison d'un risque potentiel d'ototoxicité et de néphrotoxicité foetales. Son utilisation sera strictement limitée aux pathologies infectieuses graves. En effet, en clinique quelques cas d'atteinte cochléovestibulaire néonatale ont été décrits avec les aminosides, notamment la streptomycine et la kanamycine, et, les études animales ont mis en évidence une atteinte cochléaire et rénale. Dans le cas d'une exposition à ce médicament en cours de grossesse, une évaluation de la fonction auditive (autoémissions) et rénale du nouveau-né est recommandée.

 

Posologie et mode d'administration

Posologie :
- Chez le sujet à fonction rénale normale :
Voie intramusculaire et perfusion intraveineuse lente (de 30 minutes) : 15 mg/kg et par jour, administrés de la façon suivante : 7,5 mg/kg 2 fois par jour, toutes les 12 heures.
Depuis la mise à disposition des aminosides, il a été montré qu'il était possible, pour la même posologie quotidienne de réduire le nombre d'administrations.
La dose quotidienne peut être administrée en une injection de 15 mg/kg en perfusion lente de 30 minutes :
. chez les patients de moins de 65 ans,
. à fonction rénale normale,
. lorsque le traitement n'excède pas 10 jours,
. en l'absence de neutropénie,
. à l'exclusion des infections à germes à Gram positif,
. pour des infections à germes à Gram négatif, à l'exclusion des Pseudomonas et des Serratia.
Dans les autres cas, l'administration biquotidienne de la dose usuelle est le plus souvent recommandée (en dehors de l'insuffisance rénale qui implique le maintien des mesures habituelles).
Les dosages plasmatiques sont utiles lorsque le traitement doit dépasser 5 jours ; une concentration résiduelle inférieure à 5 mg/L indique que le rythme d'administration choisi est adapté aux capacités d'épuration du patient.
La dose totale journalière ne devrait pas dépasser 1,5 g.
- Chez l'insuffisant rénal :
Il est indispensable de procéder à un ajustement de la posologie, de surveiller de façon régulière, les fonctions rénale, cochléaire et vestibulaire, et de pratiquer des dosages sériques de contrôle.
Les valeurs de la créatinine sérique ou de la clairance de la créatinine endogène sont les meilleurs tests pour apprécier l'état de la fonction rénale et procéder à une adaptation de la posologie.
La posologie doit être adaptée au degré de l'atteinte rénale en espaçant les doses.
Chez l'insuffisant rénal, la dose d'isépamicine recommandée par administration est de 7,5 mg/kg. L'intervalle entre deux administrations sera augmenté en fonction de la diminution de la clairance de la créatinine :
. 60-40 ml/min : 24 h.
. 40-20 ml/min : 48 h.
. 20-10 ml/min : 72 h.
. 10-5 ml/min : 96 h.
- Chez l'hémodialysé, l'isépamicine sera administrée à la posologie de 7,5 mg/kg 3 fois par semaine, à la fin de chaque séance de dialyse.
Chez les patients insuffisants rénaux traités par dialyse péritonéale continue ambulatoire, l'isépamicine peut être administrée à la posologie de 7,5 mg/kg par perfusion intraveineuse lente de 30 minutes toutes les 96 heures à la fin d'un échange péritonéal ; l'isépamicine peut être administrée à la posologie de 13 mg/kg par voie péritonéale dans la poche de soluté de dialyse toutes les 96 heures.
Mode d'administration :
L'isépamicine doit être administrée en perfusion IV lente de 30 minutes ou par voie IM.

 

Mises en garde et précautions d'emploi

- Ce produit contient des sulfites qui peuvent éventuellement entraîner ou aggraver des réactions de type anaphylactique.
- Chez les sujets porteurs d'anomalie vestibulaire et cochléaire, l'isépamicine ne peut être utilisée que lorsque le bénéfice attendu peut être considéré comme supérieur au risque.
- La néphrotoxicité et l'ototoxicité potentielles de l'isépamicine imposent les précautions d'emploi suivantes :
. en cas d'insuffisance rénale, n'utiliser l'isépamicine qu'en cas de stricte nécessité et adapter la posologie en fonction de la clairance de la créatinine (voir posologie et mode d'administration). Une surveillance clinique de la fonction cochléovestibulaire et une surveillance biologique de la fonction rénale sont nécessaires. Les taux sériques de l'antibiotique seront contrôlés dans toute la mesure du possible.
. compte tenu de la pharmacocinétique du produit, du mécanisme d'ototoxicité et de la néphrotoxicité, il faut éviter les traitements itératifs et/ou prolongés, particulièrement chez les sujets âgés.
- Chez les brûlés ayant des lésions étendues, l'adaptation posologique doit se faire au vu des déterminations régulières des concentrations plasmatiques d'isépamicine.
- L'isépamicine ne doit pas être administrée par voie intraveineuse directe. Ce produit n'est pas destiné à être utilisé par voie intrarachidienne. La voie sous-cutanée n'a pas été étudiée.
- Allaitement : le passage des aminosides dans le lait maternel est documenté, cependant les concentrations retrouvées dans le lait sont faibles voire négligeables. Le risque majeur consisterait en une modification de la flore intestinale de l'enfant. En conséquence, l'allaitement est possible en cas de traitement bref (quelques jours) par ce médicament et si la fonction rénale maternelle est normale. En cas de survenue de troubles digestifs chez le nourrisson (candidose intestinale, diarrhée), il est nécessaire d'interrompre l'allaitement.
- Associations faisant l'objet d'une précaution d'emploi : céfalotine, diurétiques de l'anse (bumétanide, furosémide), curarisants.

 

Grossesse et allaitement

Grossesse :
L'utilisation de ce médicament est déconseillée au cours de la grossesse en raison d'un risque potentiel d'ototoxicité et de néphrotoxicité foetales. Son utilisation sera strictement limitée aux pathologies infectieuses graves.
En effet, en clinique quelques cas d'atteinte cochléovestibulaire néonatale ont été décrits avec les aminosides, notamment la streptomycine et la kanamycine, et, les études animales ont mis en évidence une atteinte cochléaire et rénale.
Dans le cas d'une exposition à ce médicament en cours de grossesse, une évaluation de la fonction auditive (autoémissions) et rénale du nouveau-né est recommandée.
Allaitement :
Le passage des aminosides dans le lait maternel est documenté, cependant les concentrations retrouvées dans le lait sont faibles voire négligeables. Le risque majeur consisterait en une modification de la flore intestinale de l'enfant. En conséquence, l'allaitement est possible en cas de traitement bref (quelques jours) par ce médicament et si la fonction rénale maternelle est normale. En cas de survenue de troubles digestifs chez le nourrisson (candidose intestinale, diarrhée), il est nécessaire d'interrompre l'allaitement.

 

Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions

ASSOCIATION CONTRE-INDIQUEE :
Administration simultanée d'aminosides : risque accru de néphrotoxicité et d'ototoxicité.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
- Toxine botulique : risque d'augmentation des effets de la toxine botulique avec les aminosides (par extrapolation à partir des effets observés au cours du botulisme).
Utiliser un autre antibiotique.
- Polymyxines (voie parentérale) : addition des effets néphrotoxiques.
Si l'association ne peut être évitée, la surveillance doit être stricte avec une justification bactériologique indiscutable.
ASSOCIATIONS FAISANT L'OBJET D'UNE PRECAUTION D'EMPLOI :
- Céfalotine : l'augmentation de la néphrotoxicité des aminosides par la céfalotine est discutée.
Surveiller la fonction rénale.
- Diurétiques de l'anse (bumétanide et furosémide) : augmentation des risques néphrotoxiques et ototoxiques des aminosides (insuffisance rénale fonctionnelle liée à la déshydratation entraînée par le diurétique).
L'association est possible sous surveillance de l'état d'hydratation, des fonctions rénales et cochléovestibulaires et éventuellement des concentrations plasmatiques de l'aminoside.
- Curarisants : potentialisation des curares lorsque l'antibiotique est administré par voie parentérale et/ou péritonéale avant, pendant ou après l'agent curarisant.
Surveiller le degré de curarisation en fin d'anesthésie.
ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE :
- Amphotéricine B : risque accru de néphrotoxicité.
- Ciclosporine, tacrolimus : augmentation de la créatininémie plus importante que sous immunodépresseur seul (synergie des effets néphrotoxiques des deux substances).
- Organoplatine (à doses élevées), cisplatine, oxaliplatine (par extrapolation) : addition des effets néphrotoxiques et ototoxiques, notamment en cas d'insuffisance rénale préalable.
- Administration successive d'aminosides : prendre en compte le risque d'ototoxicité cumulative.
PROBLEMES PARTICULIERS DU DESEQUILIBRE DE L'INR :
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.

 

Effets indésirables

- Phlébites,
- Céphalées,
- Elévation des transaminases.
Plus rarement :
- Polyurie, insuffisance rénale,
- Fièvre,
- Troubles gastro-intestinaux, hyperbilirubinémie,
- Acouphène,
- Erythème, éruption de type psoriasique, urticaire,
- Agranulocytose.
Néphrotoxicité : ce médicament appartient à la famille des aminosides pour laquelle des cas d'insuffisance rénale ont été rapportés. Ils étaient, la plupart du temps, en rapport avec une posologie trop élevée ou des traitements prolongés, des altérations rénales antérieures, des troubles de l'hémodynamique ou des associations à des produits réputés néphrotoxiques.
Ototoxicité : ce médicament appartient à la famille des aminosides pour laquelle des cas d'atteinte cochléovestibulaire ont été signalés. Ils étaient favorisés par une posologie trop élevée, une longue durée du traitement, une insuffisance rénale préexistante, notamment l'insuffisance rénale fonctionnelle des sujets âgés, ou par des associations à des produits ototoxiques.

 

Surdosage

En cas de surdosage ou d'atteinte toxique, une hémodialyse ou une dialyse péritonéale permettra une élimination accélérée de l'isépamicine.

 

Propriétés pharmacologiques

ANTIBIOTIQUES DE LA FAMILLE DES AMINOSIDES.
(J : anti-infectieux).
L'isépamicine est un antibiotique bactéricide hémisynthétique de la famille des aminoglycosides du groupe de la déoxystreptamine.
L'isépamicine est un aminoglycoside résistant à la plupart des enzymes d'inactivation sécrétées par les bactéries. C'est pourquoi il peut être actif sur des souches bactériennes résistantes aux autres aminoglycosides.
SPECTRE D'ACTIVITE ANTIBACTERIENNE :
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
S < = 8 mg/L et R > 16 mg/L.
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue (> 10%) (valeurs extrêmes) pour une espèce bactérienne, elle est indiquée ci-dessous :
ESPECES SENSIBLES :
- Aérobies à Gram positif :
. Corynebacterium.
. Listeria monocytogenes.
. Staphylococcus méti-S.
- Aérobies à Gram négatif :
. Acinetobacter (essentiellement Acinetobacter baumannii).
. Branhamella catarrhalis.
. Campylobacter.
. Citrobacter freundii.
. Citrobacter koseri.
. Enterobacter aerogenes (20-40%).
. Enterobacter cloacae.
. Escherichia coli.
. Haemophilus influenzae.
. Klebsiella* (0-20%).
. Morganella morganii.
. Proteus mirabilis.
. Proteus vulgaris.
. Providencia rettgeri.
. Providencia stuartii.
. Pseudomonas aeruginosa (5-20%).
. Salmonella.
. Serratia (5-15%).
. Shigella.
. Yersinia.
ESPECES MODEREMENT SENSIBLES (in vitro de sensibilité intermédiaire) :
Aérobies à Gram négatif :
Pasteurella.
ESPECES RESISTANTES :
- Aérobies à Gram positif :
. Entérocoques**.
. Nocardia asteroïdes.
. Staphylococcus
méti-R***.
. Streptococcus.
- Aérobies à Gram négatif :
. Alcaligenes denitrificans.
. Burkholderia.
. Flavobacterium sp..
. Stenotrophomonas maltophilia.
- Anaérobies :
Bactéries anaérobies strictes.
- Autres :
. Chlamydia.
. Mycoplasmes.
. Rickettsies.
*On ne dispose actuellement pas d'études cliniques suffisantes pour apprécier l'activité de l'isépamicine sur des infections déterminées par des souches appartenant à cette espèce, sensibles à l'isépamicine in vitro et résistantes à l'amikacine.
**Dans certaines indications, l'isépamicine peut être utilisée en association, en particulier avec les bêtalactamines (septicémies, endocardites). Toutefois, la synergie est abolie lorsque les espèces impliquées (streptocoques, entérocoques) présentent une résistance acquise de haut niveau à l'isépamicine (30-80% des souches).
***La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50% de l'ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.

L'isépamicine est un antibiotique injectable ; il n'est pas absorbé par voie digestive. Après administration IM, sa résorption est rapide (Tmax = 1,3 heure), la biodisponibilité est quasi totale par cette voie.
DISTRIBUTION :
Chez l'adulte présentant une fonction rénale normale :
- une injection IM de 15 mg/kg (soit 1 g) donne une concentration plasmatique maximale de 42 mg/L ;
- une injection IM de 7,5 mg/kg donne une concentration plasmatique maximale de 24 mg/L ;
- l'administration d'une dose de 15 mg/kg/24 heures en perfusion intraveineuse de 30 minutes entraîne une concentration plasmatique maximale de 90 mg/L ;
- l'administration d'une dose de 7,5 mg/kg/24 heures en perfusion intraveineuse de 30 minutes entraîne une concentration plasmatique maximale de 50 mg/L ;
- la demi-vie sérique est d'environ 2,5 heures.
La concentration plasmatique maximale et l'aire sous la courbe sont proportionnelles à la dose d'isépamicine perfusée en 30 minutes (7,5 mg/kg ou 15 mg/kg). Les autres paramètres pharmacocinétiques sont indépendants des doses.
Après administration répétée, la cinétique de l'isépamicine n'est pas modifiée quelle que soit la dose ; l'état stationnaire est atteint dès la première dose. Il n'y a pas d'accumulation du produit.
L'isépamicine a une bonne diffusion tissulaire.
BIOTRANSFORMATION :
L'isépamicine ne subit pas de transformation métabolique (hépatique ou urinaire).
EXCRETION :
L'excrétion urinaire de l'isépamicine inchangée représente 97% de la dose injectée.

 

Durée et précautions particulières de conservation

Durée de conservation :
3 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température ne dépassant pas 30°C.
Ne pas congeler

Ne pas mélanger la solution injectable d'isépamicine avec un autre médicament dans la même seringue ou dans le même flacon de perfusion à l'exception de ceux mentionnés en instructions pour l'utilisation, la manipulation et l'élimination : chlorure de sodium à 0,9%, glucose à 5% ou solution de Ringer-Lactate.

Lors d'administration en perfusion IV, l'isépamicine doit être diluée dans 50 à 100 ml de chlorure de sodium à 0,9%, de glucose à 5% ou de solution de Ringer-Lactate.

1 ml en ampoule de 2 ml (verre type I) ; boîte de 1.