Navigation

Neo-codion nourrissons, sirop, flacon de 125 ml

Neo-codion nourrisson

Neo-codion nourrisson est un médicament sous forme de sirop à base de Benzoate de sodium + grindelia + polygala.
Autorisation de mise sur le marché le 06/09/1996 par BOUCHARA-RECORDATI. Ce médicament n’est pas remboursé par la sécurité sociale.

 

À propos

    Principes actifs

  • Benzoate de sodium (E211)
  • Grindelia
  • Polygala

    Excipients

  • Ascorbique acide (E300)
  • Propyle gallate (E310)
  • Parahydroxybenzoate de méthyle (E218)
  • Parahydroxybenzoate de propyle (E216)
  • Vanilline
  • Saccharose
  • Sodium hydroxyde (E524)
  • Eau purifiée
  • Arôme framboise :
  • Ethyle formiate
  • Ethyle acétate
  • Amyle acétate
  • Ethylvanilline
  • Ethyle heptanoate
  • Méthylionone
  • Ethyle méthylphénylglycidate
  • Gamma undécalactone
  • Anisyle acétate
  • Méthyle méthylanthranilate
  • Cinnamyle alpha-amyl aldéhyde
  • Azorubine (E122)
  • Rouge cochenille A (E124)
  • Tartrazine (E102)
  • Alcool éthylique
  • Eau
  • Arôme orange :
  • Orange déterpénée
  • Alcool éthylique
  • Décanal
  • Octanal
  • Présence de :
  • Sodium

    Classification ATC

    • système respiratoire

      • médicaments du rhume et de la toux

        • expectorants, sauf associations aux antitussifs

          • expectorants

            • associations d'expectorants

    Statut

    Ce médicament est autorisé sur le marché depuis le 06/09/1996.

 

Indications : pourquoi le prendre?

Indications d’utilisation
  • Troubles de la sécrétion bronchique

Indications thérapeutiques

Traitement d'appoint des troubles de la sécrétion bronchique.

 

Contre indications : pourquoi ne pas le prendre ?

Hypersensibilité à l'un des constituants du produit, notamment à la tartrazine (E 102), à l'azorubine (E 122), au rouge cochenille A (E 124), et aux parabènes (parahydroxybenzoate de méthyle et de propyle).

 

Posologie et mode d'administration

Réservé au nourrisson de plus de 3 mois.

Voie orale.

Nourrisson: 1 cuillère à café, 2 à 3 fois par jour.

 

Mises en garde et précautions d'emploi

Mises en garde

ATTENTION: le titre alcoolique de ce médicament est de 2,22 soit 88 mg d'alcool par cuillère à café (5 ml).

En cas d'expectoration grasse et purulente, en cas de fièvre ou en cas de maladie chronique des bronches et des poumons, procéder à un réexamen de la situation clinique.

Les toux productives, qui représentent un élément fondamental de la défense broncho-pulmonaire, sont à respecter.

L'association de mucomodificateurs bronchiques avec des antitussifs et/ou des substances asséchant les sécrétions (atropiniques) est irrationnelle.

L'indication ne justifie pas de traitement prolongé.

Liées à la présence de tartrazine, d'azorubine, de rouge cochenille A: possibilité de réactions allergiques, y compris d'asthme, en particulier chez les patients allergiques à l'aspirine.

En raison de la présence d'alcool dans ce médicament, les associations avec les substances suivantes sont déconseillées : insulines, les médicaments provoquant un effet antabuse avec l'alcool, les médicaments sédatifs, les sulfamides hypoglycémiants, les IMAO non sélectifs (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).

Précautions d'emploi

Ce médicament contient du saccharose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase.

Ce médicament contient 3 g de saccharose par cuillère à café, dont il faut tenir compte dans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre ou de diabète.

 

Grossesse et allaitement

NEO-CODION NOURRISSONS, sirop est indiqué pour un usage pédiatrique. Il ne contient pas de codéine et peut être utilisé avec prudence chez la femme enceinte ou qui allaite, faute de données cliniques exploitables.

 

Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions

Associations déconseillées (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi)

+ Médicaments sédatifs :

Il faut prendre en compte le fait que de nombreux médicaments ou substances peuvent additionner leurs effets dépresseurs du système nerveux central et contribuer à diminuer la vigilance. Il s'agit des dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), des neuroleptiques, des barbituriques, des benzodiazépines, des anxiolytiques autres que les benzodiazépines (par exemple, le méprobamate), des hypnotiques, des antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine), des antihistaminiques H1 sédatifs, des antihypertenseurs centraux, du baclofène et du thalidomide.

Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.

+ Médicaments provoquant un effet antabuse (cefamandole, disulfirame, furazolidone, glibenclamide, glipizide, griseofulvine, ketoconazole, metronidazole, ornidazole, procarbazine, secnidazole, tenonitrozole, tolbutamide).

Effet antabuse (chaleur, rougeurs, vomissements, tachycardie). Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.

+ IMAO non sélectifs

(Iproniazide, nialamide)

Majoration des effets hypertenseurs et/ou hyperthermiques de la tyramine présente dans certaines boissons alcoolisées (chianti, certaines bières, etc…). Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.

+ Insuline

Augmentation de la réaction hypoglycémique (inhibition des réactions de compensation pouvant faciliter la survenue de coma hypoglycémique). Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.

+ Metformine

Risque majoré d'acidose lactique lors d'intoxication alcoolique aiguë, particulièrement en cas de jeûne ou dénutrition, ou bien d'insuffisance hépatocellulaire. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.

+ Sulfamides hypoglycémiants

Effet antabuse, notamment pour glibenclamide, glipizide, tolbutamide. Augmentation de la réaction hypoglycémique (inhibition des réactions de compensation) pouvant faciliter la survenue de coma hypoglycémique. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.

Associations à prendre en compte

+ Acide nicotinique

Risque de prurit, de rougeur et de chaleurs liées à une potentialisation de l'effet vasodilatateur.

+ Anticoagulants oraux

Variations possibles de l'effet anticoagulant avec augmentation en cas d'intoxication aiguë ou diminution en cas d'alcoolisme chronique (métabolisme augmenté).

 

Effets indésirables

Possibilité de troubles digestifs (nausées, vomissements).

Réactions d'hypersensibilité.

Lié à la présence de parabènes (parahydroxybenzoate de méthyle et de propyle): urticaire.

 

Surdosage

En cas d'absorption massive, possibilité de troubles digestifs (nausées, irritations digestives, diarrhées).

Il faut noter la présence de l'alcool en tant qu'excipient (le titre alcoolique de ce médicament est de 2,22 soit 88 mg d'alcool par cuillère à café (5 ml)), en cas de surdosage en alcool, les symptômes peuvent inclure une hypoglycémie, des troubles neurologiques tels que des troubles d'équilibre, somnolence, agitation…

Le traitement consiste à restaurer la glycémie puis à procurer des soins dans un milieu spécialisé.

 

Effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines

Aucun effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'a été observé.

 

Propriétés pharmacologiques

Classe pharmacothérapeutique :

EXPECTORANT

(R: Système respiratoire)

Benzoate de sodium: expectorant

Teinture de grindélia, sirop de polygala: phytothérapie à visée antitussive.

 

Durée et précautions particulières de conservation

Durée de conservation :

3 ans.

Précautions particulières de conservation :

Pas de précautions particulières de conservation.

Sirop en flacon (verre brun, type III).

 

Médicaments similaires